Histoire de DPJ...et plus
- loisellemartine0
- 20 oct. 2022
- 87 min de lecture
Dernière mise à jour : 20 sept. 2023
Voici une histoire vécue, la mienne
Martine Loiselle
(Ceci est le seul nom que vous verrez dans ce document, les gens n’ont qu’une seule instance à qui faire face, eux-mêmes)
HISTOIRE DE DPJ… ET PLUS
(Compte rendu écrit dans les heures ou jours suivants les événements. Sauf là où mentionné.)
(Résumé en vidéo : -https://rumble.com/v1owhpi-rsum-histoire-de-dpj...et-plus.html)
- https://youtu.be/J5XbZNJ24N4
INDEX
Mon témoignage : Pages 1- 29
Les plaintes (dénonciation) Pages 29-34
Les documents envoyés à la juge : Pages 34-35
Les liens utiles : Pages 35
Articles pertinents : Pages 35-36
Conclusion : Pages 36-37
La première journée elles sont arrivées à l’improviste à 10 :40 environ et j’ai compris que c’était elles a la minute ou ça a cogné deux fois, je réponds en robe de chambre parce qu’on était en train de s’amuser dans le lit comme on aime faire chaque matin. Je réponds donc en disant : « entrer un coup c’est la poste, deux coup la DPJ puisque personne viens ici! » de façon avenante et accueillante comme je suis. Je leur dit entrée j’ai rien à cacher, je ne suis pas une petite fille faible et démunie, j’étais sure de moi et en confiance, je suis fière d’être ce que je suis, droite et à mon affaire, j’ai élevé mes deux enfants seule et il y as 3 ans j’ai acheté ma maison en campagne, depuis ce temps je vis seule avec ma fille et je fais tout moi-même, mon fils ayant décidé de rejoindre sa copine à Chibougamau, on est vraiment heureuse et on ne manque absolument de rien. On m’a répond avec la même attitude que tout ceux avec qui j’ai parlé cette année, de façon condescendante et menaçante : on verra ça. J’ai été m’habiller, j’ai gardé mon calme et mon sourire, je me suis dit que je leur montrerais qui je suis et que tout irait bien. La petite était dans la chambre et déjà un peu nerveuse de voir ces femmes pas très bienveillantes s’immiscer chez nous, je l’ai mise en confiance en lui disant viens mon amour, on a rien à craindre juste à dire la vérité et tout va bien aller. Donc elles m’ont posés des questions j’ai répond, je leur ai expliqué que je voulais faire l’école à la maison et que le département de l’école a la maison ne m’aidait pas du tout, que je n’avais pas réussi à remplir le plan d’apprentissage conformément. Elles m’ont répond la même chose qu’eux, que j’avais eu assez de chance. Mais puisque j’ai le droit de faire l’école à la maison, pourquoi ne pas m’aider à y parvenir au lieu de me mettre des bâtons dans les roues, ce gouvernement dis offrir des services à ses citoyens, ce n’est pas un service si on ne nous aide pas et que c’est eux qui décide si on y a droit ou pas, j’y ai droit point, alors aidez-moi, aidons nous tous.
Avec tout ce qui s’est passé cette année, j’avais un choix à faire et je n’ai pas fait dans la norme, mais en plus de bien faire l’académique, on a travaillé la confiance et l’estime de soi, ainsi que son langage et la communication verbale. Je sais parfaitement que j’ai fait un très bon travail, je le sais parce que je me connais et je le démontre bien dans ce dossier, dès qu’on me laisse faire à ma façon, je sais parfaitement comment le faire.
Elles nous ont demandés ce que j’avais utilisés pour enseigner, je leur ai montré, je ne suis pas très bonne pour expliquer, je suis meilleure en écriture parce que j’ai le temps de penser. Pour démontrer on a fait les mois que j’ai inscrit dans la fenêtre, elle s’en sortait plutôt bien malgré le stress elle répondait avec mon aide mais aucunement je ne répondais a sa place, je l’encourageais avec une attitude avenante et souriante, mais ces femmes étaient brusques et nous ont coupés en disant bon c’est assez. Elle me traitait comme une incapable bêtement devant ma fille, j’ai tenté de leur expliqué que ce n’étais pas du respect d’agir ainsi. Elle m’a dit « là Madame Loiselle va bien falloir parler des vrais choses», j’en ai eu assez de me faire parler sur ce ton, j’ai levé ma main pour la faire taire et j’ai dit calmement « je marche à la douceur et ça marche très bien », la tension est monté. La petite s’est fâchée et avait les larmes aux yeux, elles ont demandées ce qu’elle avait et elle a répond très clair et fort qu’elle voulait comme maman, parce qu’elles étaient en train de me dire que c’était fini pour l’école a la maison j’avais été refusé. J’ai dit c’est sure l’ambiance n’est plus du tout la même. Elles sont parties et depuis ce moment ma fille n’a plus voulu parlé aux autres. Je la comprends, elle se disait que si elle disait quelque chose qui ne plaisait pas elle se ferait traiter de la même façon qu’elles me traitaient. C’est donc moi qui ai dû réparer les pots cassés, je lui ai expliqué que c’était juste avec moi que les gens étaient déplaisants et que je m’arrangeais avec ça. J’avais dit que je ne l’enverrais pas à l’école, il ne restait qu’un mois et demi et je ne voyais pas en quoi c’était la bonne chose à faire. Mais comme je voyais que c’était mieux pour ma fille pour ne pas qu’on ait plus de problème, j’ai fait ce compromis. J’ai donc laissé un message pour annoncer que je l’enverrais et j’ai essayé de finir ça positivement pour que tout s’arrange. A cette première rencontre on m’a aussi menacé avec le juge, si ce n’est pas nous ce sera devant le juge, ça m’a marqué.
La deuxième visite, ma fille venait de commencer l’école, elles sont revenus sans avertissement encore juste avant que la petite reviennent de l’école, avec la même attitude condescendante et menaçante, en me disant comme si j’étais une enfant…on avait dit trois choses Madame Loiselle, vous vous souvenez!? je leur ai demandé de partir avant que la petite revienne, j’avais tellement pas envie qu’ elle vive ça, qu’ elle est cette mauvaise surprise en revenant de sa première journée qui l’avais surement stressée elle aussi. Ces deux visites ont été des plus déplaisantes et stressantes, je ne comprenais pas leur acharnement, ça aurait très bien pu finir a la première visite. Je suis resté calme tout ce temps, j’essayais de leur montrer, à cette visite je leur ai offert de mon plein gré de visiter la maison, je leur ai ouvert mon cœur et mon frigo, je venais de leur dire que j’avais changé d’alimentation, que j’achetais des légumes congelés parce que j’avais lu qu’ il était plus frais vu qu’ ils étaient congelés immédiatement cueilli, en ouvrant le congélateur elle me dit avec un ton condescendant : « au moins y as des légumes… ». Elles ne disaient pratiquement que des choses déplaisantes, c’était évident qu’elles ne cherchaient que des problèmes. À cette deuxième rencontre on m’a demandé de façon brusque si j’avais un avocat, parce que même si je reste calme, je trouve ça très exagéré je leur ai demandé pourquoi les autres fois que j’ai eu affairent avec la DPJ ils ont fermé le dossier immédiatement et elles insistaient autant, on m’a répond : « on est la DPJ, on fait ce qu’on veut. »
La troisième fois c’était un appel téléphonique, qui a été en retard de deux heures, j’avais préparé un texte et ça n’a pas été concluant, donc encore vouloir que je fasse absolument à leur façon, je me suis emporté et j’ai dit bon puisque c’est comme ça je choisi le juge. Je ne voyais plus d’autre choix et avec ce qui avait été dit je sentais que c’est par là qu’il fallait que j’aille.
Donc ensuite ça s’est passé tellement vite, j’ai reçu une lettre du huissier me disant de me présenter en cours le lendemain, c’était vraiment stressant, je n’ai pratiquement pas dormie et au matin je devais nous trouver des avocats. Je me rends en cours, dès leur arrivée je me fais traiter de façon malveillante par la DPJ, on me parle avec un ton menaçant, comme si j’en avais pas assez à vivre, je suis resté stoïque. En plus j’avais oublié les crayons, papier et carte à jouer que j’avais préparés dans la voiture. Quand l’avocat de ma fille est venu la chercher, j’ai dit à ma fille de lui répondre quand il poserait des questions, elle a bien compris et a fait de son mieux puisque que comme l’avocat a dit lui-même elle a répond oui, non et je ne sais pas, mais il a menti parce qu’elle m’a dit qu’ il lui avait demandé si elle aimait les licornes et qu’elle avait fait signe que oui et qu’elle avait dit « mais elles existent pas », elle a donc parlé et c’est déjà bon pour une petite fille de 7 ans seul avec un inconnu, c’est très impressionnant en plus qu’elle est très gênée. Tout ce qui compte pour tous ceux que j’ai rencontré cette année c’est de soumettre à leur volonté et tous les coups sont permis puisque les reproches énoncés dans les documents sont faux ou exagérés. Je n’ai même pas eu le temps de parler avec mon avocate, de rassembler mes idées, elle m’a dit qu’aujourd’hui on n’avait pas le temps de toute façon, que j’étais mieux de dire oui aux quatre requêtes, c’est donc ce que j’ai fait. Ensuite la DPJ m’a obligé à dire à ma fille devant tous qu’elle devait retourner à l’école, elle m’a dit ça de façon malveillante, comme si j’étais rien. C’est encore moi qui aie du réparer les pots cassés en revenant à la maison, j’ai expliqué à ma fille qu’il fallait être patiente, que j’endurais ça parce que j’avais besoin de temps, que c’était une stratégie d’attendre le bon moment. Beaucoup plus bienveillante et effective que de traiter les autres de façon désobligeante. Il faut rester calme devant l’adversité sinon ils s’en servent contre nous. Et je connais bien l’adversité, la différence dérange et je ne peux être autrement que moi-même.
Une semaine après, on m’a traité toujours de la même façon, en me disant : « et puis c’était comment en cours », répéter jusqu’à ce que je réponde. J’ai répond que j’aurais le courage de cents hommes puisqu’ il le faut. On a continué en me disant qu’on allait voir si le 15 septembre ça continuerait. En plus on m’a rajouté encore une chose, je devais coucher ma fille dans sa chambre, mais on m’a dit que ce n’était pas obligé d’être tout de suite.
A la visite suivante j’ai dit : menace, intimidation, harcèlement, contrôle pour soumettre à votre volonté, elle m’a répond à la loi! Mais la loi n’était que l’école, elle a répond on avait vu autre chose. Je leur ai dit qu’elles n’étaient pas obligées de transformer tout en caca. Elle m’a demandé pourquoi vous ne l’avez pas dit, j’ai dit que j’avais dit chaque fois mais qu’elles n’avaient pas écoutés. Surement qu’il aurait fallu que je lève le ton ou parle à leur manière condescendante et menaçante pour qu’elles écoutent, mais encore là elles m’auraient pris en faute. En restant calme et stoïque personne ne peut rien me reprocher, je fais ce qu’il faut pour aider ma fille, ce n’est certainement pas avec ces gens qu’elle est en sécurité. Je suis le mieux placé pour la comprendre et connaitre ses besoins. Je l’ai dit dès le début qu’on était différente, bêtement on m’a répondu que ça paraissait pas. Non effectivement la douance ça ne parait pas.
Une journée de sortie à l’école ma fille a été piqué à l’œil par un moustique et ça a enflé, ça lui aie arrivé l’année passée donc on porte un filet de tête depuis, comme c’était une sortie j’avais envoyé un chasse moustique mais elle n’a pas voulu en mettre j’avais oublié de lui spécifié que c’était important. Donc le lendemain je l’envoi quand même à l’école parce que ça lui fais pas mal et comme j’ai la DPJ au fesse je ne savais plus trop ce que je devais faire, j’étais abasourdie. L’école m’appelle pour me demander si y peuvent mettre de la crème et des gouttes et je dis oui si elle veut, elle a donc dit oui pour la crème, mais j’avais déjà essayé et y as rien qui marche sauf attendre, ça dure 4 jours, je voulais pas qui pense que je néglige ma fille, ça en prend pas gros dans cette société, donc je demande si y as du pu on me dit ben juste une genre de croute blanche, quelques heures plus tard la DPJ m’appelle en panique comme si y’avait un drame, la Mme Loiselle votre fille a du pu va falloir parler de ça au médecin, j’y dit l’école c’est pas ce qu’ elle m’a dit, elle dit à moi oui! Quand je suis arrivée, l’œil avait désenflé et il n’y avait pas de pu.
On m’avait dit que l’intervenante attendrait à l’extérieur de la salle quand on irait à l’hôpital de Québec voir le médecin, en arrivant finalement elle restait dans la salle avec nous. Chaque fois y as eu des changements sans avertissement comme ça, je trouve ça un grand manque de respect, elle devait en avoir pour la docteure parce que c’est la seule fois où elle est arrivé à l’heure à un de nos rendez-vous.
J’ai aussi dit que je ferais seulement les 4 choses demandés par la juge puisqu’ elle me répétait encore que ma fille devait coucher dans sa chambre mais que c’était pas tous de suite, j’ai répond c’est pour ça que vous le répéter à chaque visite? Et on m’a encore menacé, en me disant que ce serait à moi de venir avant d’aller en cours à leur bureau et qu’elle me dirait ce qu’elles ont à me reprocher, tellement rien à reprocher que c est rendu mal de coucher avec ma fille de 7 ans. J’ai aussi dit que je ne regrettais pas ce qui se passe, que tout ça était pour me donner du temps et que le 15 je serais prête, j’ai aussi dit que je ferais évaluer ma fille moi-même pour l’école et elle s’est encore énervée en disant faut que vous le disiez si vous le faites, j’ai dit je verrai, je n’étais aucunement obligé de donner aucun document de mon dossier et je l’ai fait moi-même l’évaluation, j’étais la mieux placé pour le faire comme le reste.
A cette visite ma fille a parlé avec l’intervenante de la DPJ un peu plus et clairement à propos de sa photo d’école. Elle commence enfin à reparler, et tout de suite après j’ai essayé encore de faire comprendre à l’intervenante que c’était par leur agissement qu’elle avait arrêté de parler, ça devenait tendu j’ai dit à ma fille d’aller jouer dans sa chambre, elle a remarqué que je n’avais pas de problème d’autorité, non effectivement j’ai aucun problème d’aucune sorte a par ceux que la DPJ inventent. J’ai parlé avec une vingtaine de personnes inconnus parce que j’essayais de comprendre et j’ai demandé aux gens si la DPJ était vraiment malfaisante ou si c’était moi et ils m’ont tous répond que oui ils étaient malfaisant, même le huissier qui est venu me porter le document de cours et qui a été très avenant et compatissant avec moi. Ils l’ont tous été d’ailleurs, tous les gens j’ai rencontré m’ont aidé d’une façon ou d’une autre soit en racontant leur propre mésaventure avec la DPJ, soit en me donnant de bons conseils. Jamais personne ne m’a traité comme ceux du gouvernement, qui accepterait que des inconnus arrivent chez eux et les menacent? N’importe qui d’autre ferait ça on porte plainte et il sera punit, mais quand c’est le gouvernement c’est la façon de faire habituelle et tous leurs ai permis!?
Cette fois elle est arrivé avec un stagiaire en formation, J’ai dit vous êtes en retard comme d’habitude, mais comme vous m’avez dit la dernière fois « on fait affaire avec des humains on ne peut pas dire c’est fini on s’en va ». La rétorque a été « aujourd’hui on a déjà vu trois personnes avant de venir, peut être que si on avait plus de personnels ça irait mieux» J’ai répond « ou peut être que vous vous mêlez des affaires de trop de monde ». Je n’ai pas réussi à rester stoïque parce que ce n’est pas normal de rentrer dans la vie des gens et de vouloir le control comme ça. Elle m’a encore répété qu’il fallait que ma fille couche dans sa chambre, j’ai dit que ça je n’étais pas d’accord, elle m’a encore menacé en disant ah vous avez le choix, je dis oui sauf qui a des conséquences, encore des menaces, elle dit en s’énervant : comment ça des menaces dites-moi ou je menace, j’ai dit que je ne trouvais pas ça correct d’aller jusqu’ à rentrer dans la chambre des gens. Je dis encore : « Je serais bien curieuse d’aller chez vous, tout ce que vous ne faites pas comme moi je vous le reprocherez. » Elle dit c’est quand même des spécialistes qui le disent. Depuis quand faut être spécialiste pour être mère? Ensuite elle s’est mise à me dire devant ma fille ce que son avocat avait dit, je l’ai coupé ça m’a vraiment énervée j’ai l’ait envoyé dans sa chambre et j’ai dit : vous êtes sérieuse, dire ça devant la petite! Elle n’a pas besoin de vivre dans la peur! Elle a répliqué que j’avais qu’à lui dire avant d’aller dans la chambre, qu’elle aurait préféré ne pas se rendre la! Si ce n’est pas des menaces ça! Et là elle s’en prend à ma fille carrément vu qu’elle voit que moi je me soumettrai pas! Elles m’avaient dit que ma fille n’allait pas dans la salle de tribunal justement parce qu’il y avait des choses qui s’y disaient qui n’étaient pas pour elle! Elle m’a dit que je pouvais porter plainte et que l’enregistrement ne serait pas recevable en cours quand mon avocate a dit que oui. Elle a aussi dit qu’au moins je pouvais vivre avec ma fille! Elle m’a aussi demandé d’écouter l’enregistrement que j’ai fait, mais je me suis dit que si elle avait vraiment voulu l’écouter elle me l’aurait demandé avant, J’ai donc décidé de m’en servir pour porter plainte et à la juge voir si eux sont d’accord avec cette façon de faire même si quand j’ai enregistré c’était moins pire, y as quand même des moments où elles ont été fidèle à elles même, je suis allé voir sur internet un peu, je suis tombe sur un site qui disait de toujours avoir un témoin et de faire un enregistrement vidéo de préférence et si elles disaient non de demander qu’ est-ce qu’ elle avait à cacher, je n’ai rien eu de ca juste quelques enregistrement audio parce que justement elles m’ont dit non pour les vidéos parce que des fois des gens mettait ca sur internet et elles m’avaient dit que ce serait pas recevable de toute façon. J’ai donc hésité plusieurs fois et j a essayé d’avoir confiance, je suis honnête et bonne et j’ai espoir que les autres le soit. Je leur ai dit que je ne croyais pas qu’elles étaient mauvaises, seulement que leur façon de faire est malveillante. Je ne crois pas au mal absolu, mais l’ignorance et le manque d’expérience de vie peut rendre méchant. La bonté ça s’acquiert, de mon point de vue ce n’est pas vrai que c’est inné, on doit l’apprendre à nos enfants d’abord et s’y intéresser ensuite.
visite du 13 aout. Elle m’a encore menacée de continuer à me harceler et m’emmener en cour qu’elle dirait qu’elle veut que ma fille aille à l’école physique, je lui ai répond que ce n’était pas à eux à décider. Chaque visite elles me remettent sur le nez que son avocat était tellement inquiet qu’il voulait me l’enlever. Cette fois je lui ai répond que c’était n’importe quoi, qu’aucun d’eux ne nous connaissait et ne savait rien du tout. Elle me dit « pourquoi vous continuez à ne pas vouloir l’envoyez à l’école quand vous savez que c’est pour son bien? » je n’ai rien répond, je l’ai regardé dans les yeux, je pensais : ça c’est ce que vous pensez, pas moi. J’ai été m’installé à la fenêtre derrière le comptoir pendant qu’ils étaient à la table, je voulais laisser plus d’espace à ma fille pour qu’elle réponde aux questions avec son cœur, elle lui a demandé à si elle avait hâte d’aller à l’école et elle a répond je le sais pas, ensuite elle lui a demandé et l’autobus ? Elle a répond « j’ai mal au cœur dans l’autobus » elle lui a dit « t’aimais mieux quand maman allait te porter hein ? ». On en a parlé déjà plusieurs fois ensemble, je me bat parce que je veux son bien, je veux lui donner ce qu’ il y a de meilleur, elle veut des amis et moi aussi d’ailleurs j’en voudrais, c’est pour ça qu’ on parle avec plein de gens, malheureusement c’est pas si facile, il faut des affinités et de la réciprocité, mais on est enthousiasme et positive. C’est la seule chose qui manque dans notre vie et c’est pour cette raison que j’ai pensé au plan A. Je veux seulement qu’on puisse être nous, je n’y vois aucun mal.
Je suis très indépendante, je sais faire mes propres choix et ceux pour ma fille, j’aide même mon prochain dès que j’ai l’occasion, toujours un bon mot pour tous ceux qui croise mon chemin, un sourire avenant. Quand je vais au parc je me promène sur la piste qui l’entoure et je ramasse les déchets sur tout le terrain, je sors des jouets pour tous les enfants ma fille n’a pas de jouet juste à elle quand on va au parc et ça lui plais, ainsi qu’aux parents et enfants. Je suis apprécié de mes compères s’ils sont de bonnes personnes, la seule chose que je ne tolère pas c’est la méchanceté. J’ai même un excellent nom dans la société, à la banque, mes comptes, mes taxes, etc.
Visite du 25 aout. Je leur ai dit comme elles m’ont dit en arrivant, « je vous ai laissé assez de chance », je croyais vraiment qu’en leur montrant qui on est, mais non elles ne démordent pas, depuis le début que je sens que c’est l’orgueil et de l’abus de pouvoir. On est descendu dans la cave parce que j’avais dit que je leur montrerais ma salle que j’ai fait pour mon travail, j’ai dit de ne pas toucher au rideau parce que la tringle ne tenait pas très bien et elles se sont mis à dire « oui faut pas toucher hein » avec leur ton habituel en faisant leur regard de connivence. J’ai répliqué sur un ton neutre oui sinon je pourrais porter plainte et vous emmenez en cours. J’ai vraiment eu l’impression d’avoir affaire à des petites filles capricieuses tout l’été.
On m’a demandé si j’avais repris contact avec mon fils, j’ai répond « une chose à la fois, je dois régler avec vous d’abord c’est beaucoup de travail, je vous avais dit que j’avais déjà assez à faire avec ma fille, la maison et mes choses à régler et vous en avez rajouté, monter mon dossier et nous défendre c’est un gros travail très prenant ». Elles ont répond que oui, je leur redis (parce que c’est une des premiers choses j’ai dites dans la première visite ou deuxième, j’ai besoin de deux choses, qu’on m’aide avec l’école à la maison et qu’on me foute la paix (dit d’une façon un peu gêné, je ne voulais pas être bête seulement clair)) qu’il fallait maintenant qu’elles sortent de ma vie, elles ont dit on le sait que vous voulez ça mais on ne le fera pas. J’ai répond tout ce que vous faites c’est prendre mon temps, mon énergie et mon argent. J’ai quand même reparle à mon fils, je l’ai dit dans une vidéo, il est avec ses cousins/cousines, il a l’âge de faire la fête, il travaille, j’ai une petite fille de 7 ans a m’occuper donc on a pas grand-chose à se dire, ça reviendra plus tard et c’est correct comme ça.
Elle me demande si le dossier que je lui ai remis en papier pour qu’elle puisse le lire en ma présence à voix haute est pour elle, je venais de lui dire avant que c’était pour moi et la juge s’il le fallait, je veux être prête au plus d’éventualités possible, je lui dis donc non, elle fait comme à son habitude et s’insulte. Je venais de leur dire que je leur donnais tout le dossier sur une clé USB et que j’enverrais les vidéos par emails. Je n’ai demandé aucun argent, j’ai payé les frais de tout ce dont j’ai eu à faire et ça a couté pas mal avec le gaz, même quand elles m’ont offert au début j’ai refusé parce que je dois rien à personne, je l’ai trouvé franchement impoli.
Après j’ai parlé de nos avocats et j’ai demandé « vous trouvez que c’est défendre ma fille ce que son avocat a dit, que c’est pour son bien? » Et qu’en plus elles en profitaient pour s’en servir quasi chaque semaine pour me menacer. J’ai ensuite parlé que je voulais porter plainte mais que mon avocate éludait mes questions, elles m’ont donné un pamphlet sur le comité des usagers et plus tard dans la journée j’ai finalement décidé de me passer de mon avocate. J’ai tout fait moi-même, en plus de pas m’aider elle me nuisait en me parlant aussi bêtement que les autres en me disant de faire ce qu’on me dit, ce n’est pas une défense ça. Les avocats sont supposés être là pour ça, la DPJ pour aider les enfants et les avocats pour aider ceux qui en ont besoin.
J’ai finalement lu ce pamphlet, une autre association, organisme pour contrer les failles du système, ou de ses employés qui abusent de leur pouvoir quand ils sont supposés aider les citoyens. Le privé aussi est en hausse, les gens et moi-même préférons avoir un bon service et payer, la gratuité à un prix, ou autrement dit rien n’est gratuit.
Je leur ai dit qu’il y avait au moins une chose de positive, que les activités de soccer et piscine je ne les aurais jamais fait et qu’on avait bien aimé, que la chance qu’on recommence l’année prochaine était très grande. Elle me dit « bon vous avez sorti de votre zone de confort » avec le même ton d’infantilisation. J’ai rien dit, mais je suis très rarement dans une zone de confort, je suis différente et je dois me battre pour qu’on puisse être nous, je ne vois pas où c’est confortable, j’essaie justement qu’on ait un peu de répit, parce que cette année avec tous ces gens déplaisants n’a franchement pas été confortable non plus, j’ai bien hâte de vivre des aventures agréables, ou pas d’aventure du tout ferais aussi bien l’affaire rendu là.
J’ai aussi parlé que pendant la méditation on attire a nous avec de grand mouvement de bras l’amour, la bonté, la joie et l’abondance et elle me dit la petite aussi fais ça? Je lui dis oui bien sûr et après on se fait un câlin a nous-même parce que s’aimer soi-même c’est important.
31 août 2021. La rencontre avec les coordonnatrices et les intervenantes ainsi qu’une stagiaire. Je demande aux coordonnatrices si elles ont pris connaissance de mon dossier, elles me répondent qu’elles ont vu le résumé des intervenantes, je dis alors vous mettez tout entre leur main, vous ne vérifiez pas les dires ? Je vois bien que non quand elles ne savent pas quoi me répondre. Les intervenantes me disent que mon plan A ne marchera pas et elles le répètent plusieurs fois en insistant, je dis : ça parait toujours impossible jusqu’ à ce que quelqu’un le fasse. Elle me dise que ma fille va reprendre sa première année d’un ton dramatique. Premièrement y’en a qui vont à l’école et doive reprendre leur année, y as toute sorte d’enfant chacun est diffèrent, deuxièmement quand elle est revenu ce soir-là et que j’ai vu les cahiers et ce qu’elle allait faire cette année en première année, je me suis dit qu’elle était plus loin que ça mais comme indiqué dans mon plan que j’ai envoyé à l’école, j’aurais fait les livres de la première année pour m’assurer qu’elle n’avait rien manqué et j’aurais passé à ceux de la deuxième dès que terminé. Elle est dans une classe mixte de première et deuxième année donc on verra bien ses acquis en temps et lieu.
Elle m’a demandé comment je savais que ça stressait ma fille l’école, je n’ai pas su quoi répondre immédiatement, et puis j’ai dit je le sais, je le ressens. Et maintenant que j’y ai pensé, ça la fatigue beaucoup, elle est souvent de mauvaise humeur, elle ne sourit pas, ce qui n’est pas son attitude habituelle. Après réflexion, je suis sa mère et je sais, elles sont la a vouloir me dire ce qui est bien pour elle sans même nous connaitre ni elle ni moi. Si elle me dit qu’elle aime ça et veut continuer d’aller à l’école et que ça parait, c’est ce qu’on fera. Je vais la porter et la chercher vu le mal de cœur de l’autobus, je fais tout ce que je peux pour qu’elle soit heureuse, je ne veux que son bonheur.
Elles m’ont dit qu’elle dirait que ma fille devraient être placés, qu’elle l’enverrait chez sa professeure de l’année passée qu’elle a connu trois semaines. J’ai dit tant qu’à ça y’as ma mère, elles ont dit ça fait quand même trois ans qu’elle la pas vu. Ce n’est pas vrai, ça fais 1 an et demi, avant ça on se voyait au moins deux fois par année à noël et à la fête de la petite. Il y a eu la pandémie et j’ai été très occupé avec les problèmes engendrés par l’école à la maison et la DPJ. On a parlé à ma mère au téléphone quelque fois et j’ai écrit des emails a tous a l’occasion en envoyant des photos, et chaque fois j’en parle avec ma fille qu’elle sache que je leur parle et on parle d’eux ensemble. Comme j’ai dit j’étais déjà pas mal occupé avant que les problèmes arrivent, je m’occupais très bien de ma fille et de l’école en plus de la maison et du terrain et j’ai beaucoup aidé mon prochain sur internet en encourageant toute l’année, quand la DPJ est rentré dans ma vie, j’ai arrêté Facebook c’était trop prenant, et j’ai commencé à monter mon dossier en plus de faire tout ce que la cour m’a demandé, j’ai tout fait moi-même, je suis très indépendante.
Elles ont aussi dit de ne pas lui dire tout de suite qu’elle allait peut être allé vivre ailleurs, que ça servait à rien qu’elle vive dans la peur (elles utilisent mes mots contre moi), je leur ai répond ah ben oui pas comme vous vous faites en disant ce que l’avocat a dit devant elle. Elles disent on lui dira en temps et lieu, n’importe quoi comme si j’allais laisser des inconnus lui expliquer les choses à ma place. J’ai dit que je lui avais déjà parlé de ça, en fait c’est bien avant, quand les problèmes ont commencé avec l’école à la maison vers janvier et que j’ai senti que la DPJ se rapprochait. Je lui ai dit : je vais nous défendre de tout mon cœur au pire tu iras chez mémère, dans un élan, après je lui ai expliqué que c’est le stress qui me faisait dire des choses, que tout irait bien et qu’elle pouvait avoir confiance en moi. Je fais tout mon possible pour ne pas la décevoir, c’est le combat de ma vie, le pire cauchemar de tout parent! Je suis fière de la façon dont j’affronte cette épreuve, je donne tout ce que j’ai et je fais de mon mieux, je ne peux rien faire de plus et je remets le reste entre les mains de Dieu/ la vie/ l’univers.
J’ai dit les critères pour menacer d’enlever un enfant a sa mère sont de plus en plus bas, parce qu’elles continuaient tous à me dire que c’est à cause de notre relation fusionnelle. Et parce qu’on couche ensemble. Et qu’elle me regarde pour avoir mon approbation quand on lui pose une question(les intervenantes le font elles même en se jetant des regards, ça s’appelle chercher l’approbation dans les yeux de l’autre). Elles ont dit que ça faisait 5 mois ( tout ça a commencé fin mai on a passé en cour le 9 juin, c’est donc entre 3 et 4 mois) qu’ elles me répétaient et que ça bougeait pas vite.( J’ai fait toute les autres choses et fais moi-même mon dossier, coucher ensemble me parait très absurde comme reproche) on est tous les deux je trouve ça normal qu’ on soit proche, j’ai couché avec ma mère longtemps et plein d’autre gens le font, ma cousine qui est professeure couche avec ses deux enfants.
Je lui dis toujours de parler à cœur ouvert, je l’encourage à me dire ce qu’elle pense et je lui demande son avis sur ce qui la concerne, je lui ai expliqué que son opinion importait mais que c’était moi qui prenait les décisions, parce que c’est moi la maman.
Elles ont parlés que je faisais les choses seulement parce que j’y suis obligé et c’est pour ça que ce n’était pas correct, elles me reprochent de ne pas voir de médecins et de vouloir faire l’école à la maison, pour le médecin si j’en avais senti le besoin je l’aurais fait, mon fils s’est cassé un bras je suis allé à l’hôpital, il a eu besoin de voir un optométriste pour sa sensibilité aux yeux qui le dérangeait en classe, j’y suis allé, quand j’ai accouché aussi, j’ai été chez le dentiste les trois dernières années d’affilés et j’ai emmené ma fille faire un examen en même temps. Je ne vois pas pourquoi voir des médecins quand ce n’est pas nécessaire, ce n’est pas une loi et c’est bien évident qu’on est en parfaite santé. Ça ne m’a pas dérangé de me plier à ses requêtes, je l’ai déjà dit, on est en pleine forme, je ne fume pas, bois pas et me drogue pas, en plus de faire des exercices, bien manger et bien dormir et c’est pareille pour ma fille. On a absolument rien à me reprocher, je suis déjà sévère avec moi-même, très exigeante et à mon affaire. Je ne vois pas ce que ça donne à ces gens de nous faire autant de misère, parce que tout ceci n’est évidemment pas pour le bien de ma fille puisque c’est déjà ce que je lui offre, de tout mon cœur en plus, comme des milliers de maman. Pour ce qui est de l’école, j’ai trouvé des solutions très satisfaisantes qui valent la peine d’être tenté. La DPJ est supposé être là pour les gros cas, je ne suis même pas un cas.
Ensuite les coordonnatrices sont sortie et je suis resté avec les intervenantes, à cette visite je les avais jamais vu aussi avenante et cordiale, mais elle avait toujours ce regard mauvais quand elle m’a dit « vous allez bien vu ce qu’on vient de vous dire? » parce que vous aviez dit que vous partiriez en Alaska, (je me souviens on avait ris elle avait dit au moins y’aura pas de moustique). J’ai dit bien sûr, y as rien qui change, Je sais à qui j’ai à faire (je le sais depuis la 2e visite quand je me suis montré vulnérable pour savoir à qui j’avais affaire et ensuite je leur avais expliqué ce que je voyais en elles, elles ont ignorés elles se croient tous les droits, elles l’ont dit elle-même : on est la DPJ, on fait ce qu’on veut), j’ai essayé de réglé ça sans plaintes, mais je vois bien que ce ne sera pas possible.
J’ai dit que le centre de douance que je voulais ouvrait ses portes pendant 24 h du 2-3 septembre, j’allais donc pouvoir avoir exactement ce dont j’ai besoin pour m’aider, un neuropsychologue qui déterminera les problèmes potentiels et me diagnostiquera. Elle me dit que c’est un psychologue que je dois voir, elle m’avait dit la fois d’avant n’importe quel intervenant psycho social, j’ai regardé le procès verbale et il stipule que je sois aidé, un neuropsychologue est un psychologue avec spécification en neuropsychologie.
Ce qui me définit c’est une grande bonté, je n’ai qu’une seule loi « ne faire de mal a rien ni personne » et même dans ce moment où vous vous en prenez à ma fille, l’amour de ma vie, la prunelle de mes yeux, ma priorité absolue, je choisi encore la bonté. Je suis d’une honnêteté radicale, je dis tout ce que je pense et je fais ce que je dis, ou je me tais, et comme se taire c’est une forme de mensonges à mes yeux, je me tais en général seulement le temps de trouver les mots et la façon de dire les choses.
Je mettrai beaucoup d’effort pour le plan A, la première raison est que l’école ce n’est pas pour tous, ça ne me convenait pas, à mon fils non plus et ma fille non plus. C’est trop bruyant, stressant, l’apprentissage est lent mais les horaires sont rapides, en plus de n’avoir franchement pas assez d’activité physique, je suis sure a 80% d’être en douance et dès que possible je serai diagnostiqué pour le prouver, les frais du diagnostic sont de plus ou moins 1870$, ce n’est donc pas un choix irréfléchi. Si c’est bien ça je saurai que ma fille à des grandes chances de l’être aussi et je pourrai mieux expliquer notre différence (qui consiste en une forme d’autisme, de l’hypersensibilité et une façon différente de penser) en plus d’avoir l’opportunité par le centre de douance de peut-être rencontrer des gens qui nous ressemble. Plein de gens font l’école è la maison et il y en a de plus en plus, le site internet de l’AQED (association québécoise de l’école a la maison), a dit au début de l’année 2020 que 10 000 personnes s’était inscrite à l’école à la maison, je ne sais pas pour cette année.
deuxièmement cette façon de faire pourra en aider plusieurs, qui décideront de faire l’école à la maison, l’école apportera un meilleur support que ceux de l’école à la maison qui s’attendent à ce qu’on sache tout faire avant même d’avoir commencé, (je veux dire leur façon, parce que enseigner ça m’a paru naturel et facile, c’est faire à la façon d’un autre qui m’a posé problème)en plus d’avoir plus de services à offrir comme le para scolaire, les activités, les sorties. La Visio conférence est aussi très pratique dans tous les domaines maintenant.
J’ai envoyé à la directrice de l’école de ma fille, mon projet de plan d’apprentissage et la vidéo d’évaluation que j’ai faite avec ma fille. Je lui ai dit que je trouvais ça pertinent qu’elle sache parce que l’année passée comme la DPJ l’avait traumatisé, je lui ai dit qu’elle pouvait faire comme elle voulait que c’est elle qui décidait et que de ne pas parler ce n’était pas grave, qu’on en avait reparlé et que cette année elle ne parlerait peut-être pas beaucoup parce qu’elle est très gênée mais qu’elle répondrait aux questions posées et ferait ce que les adultes lui demande.
Le travail que vous faites tous est d’une grande importance, la marge d’erreur est très mince, c’est de nos enfants, de notre avenir qu’il est question. J’avais entendu des histoires et même connu personnellement des gens ayant eu des problèmes avec la DPJ, mais je l’ai maintenant vécu et tout ceci est inacceptable. Les choses doivent s’améliorer, le monde doit changer et ce n’est pas les autres qui doivent le faire, mais chacun de nous. J’espère donc que la juge aura le sens de la justice et de la bienveillance, parce que ce n’est pas ce que j’ai vu cette année d’aucun de ceux rencontrer au gouvernement. On ne peut faire le bien en faisant du mal, tout comme on ne peut combattre le mal par le mal. Déjà quand on parle de menace, intimidation et harcèlement pour décrire un service gouvernemental, c’est que rien ne va. J’espère que plus de gens porteront plainte, ce règne de terreur doit prendre fin.
J’espère sincèrement aider en exposant les faits et mes ressentis, si personne ne dis jamais rien par peur des représailles, rien ne changera, c’est donc ce que je fais avec courage et détermination. Mon but dans la vie c’est d’aider, j’observe, j’écoute et j’analyse, mais au contraire de la DPJ, je cherche des solutions et non des problèmes.
Je veux être libre de mes choix et que les générations futures le puisse tout autant.
Ensemble changeons le monde, soyons bon. Parce que la bonté devrait toujours être la meilleure option.
7 septembre tout a été enregistrer sauf que dès qu’ elles sont entrés elle m’ont dit « vous devriez partir votre enregistrement Mme Loiselle » ce que j’ai fait, je me sentais vraiment triste qu’ elles continuent de vouloir m’enlever ma fille, chaque semaine je me disais que c’était un test, que ça se pouvait pas après plus de trois mois à venir me visiter qu’ elle pense encore à me la prendre, elles ont été comme à leur habitude et j’ai encore tenté de leur faire comprendre que c’était pas correct ce qu’ elles faisaient. Elles s’en foutent, elles sont vraiment méchantes. Quand j’ai parlé de la docteure Lessard elles ont dit qu’elles ne savaient pas de quoi je parlais qu’elles avaient bien des choses a pensé, mais c’est elles qui m’en parlaient constamment et le 31 elles m’en avaient encore parlé comme quoi je n’avais pas tout fait les docteurs.
13 septembre, elles ont commencé comme à chaque appel « vous vous souvenez qu’on avait dit qu’on appellerait Mme Loiselle? » comme d’habitude j’ai dit que oui bien sûr. Depuis le début, dès la sortie de la salle du tribunal j’ai dit que je faisais toujours ce que je disais et c’est ce que j’ai fait jusqu’ à la fin. Ensuite elles m’ont dit « vous avez vu dans le rapport à la fin on a inscrit qu’on voulait que vous voyiez la psychologue de la DPJ pour évaluer vos capacité parentale? » « Mais votre avocat devrait vous parlez de ça » ensuite elles m’ont dit que le courrier recommandé que je recevrais mardi la veille du tribunal n’allait contenir rien de nouveau à ce stade tout avait été dit. Et que ma fille ne devait pas venir le 15 puisqu’ elle avait déjà vu son avocat, que c’était pour cette raison qu’elle devait venir le 15 septembre mais qu’elle était trop petite pour entrer dans la salle. J’ai dit qu’il était temps qu’elle me dise cette information! Elles m’avaient pourtant dit que ça se pourrait que la juge demande qu’elle entre témoigner. Déjà de la ramener en cours ça me stressait, c’est long et j’allais être dans la salle elle allait être avec ces femmes qui m’ont prouvé que je ne pouvais avoir aucune confiance.
Quand j’ai reçu le courrier recommandé, il y avait des choses que je n’avais pas vu, elles m’en avaient parlé, mais je ne savais pas que l’école avait fait un rapport et que la directrice donnait mes messages que je lui envoyais. Ce n’est pas correct je trouve, ce qui pourrait concerner ma fille et sa sécurité c’est une chose, mais ce que je lui dis personnellement en ait une autre. Chaque fois que je la voyais elle me disait vous savez que vous pouvez avoir confiance et venir me parler quand vous voulez, même tactique que la DPJ. J’ai maintenant compris dans quel genre de société on vit, quand ceux en autorité nous disent c’est pour le bien de votre fille, ça veut dire si vous ne faites pas ce qu’on dit on va vous menacer et se servir de votre enfant pour vous soumettre à notre volonté.
15 septembre. A 5h Am, ma fille viens dans ma chambre pour me dire qu’elle a mal au cœur, on se levait dans 1 heure pour aller au service de garde on va donc au toilette et on se recouche, 10 min plus tard elle me dit qu’il faut qu’elle vomisse, vite a la toilette. Trop tôt pour avertir qui que ce soit, j attend 6 :30 pour appeler le service de garde qui appelle la directrice pour savoir quoi faire. Elle me rappelle et me dit d’emmener ma fille en cour qu’eux décideront. Comme elles avaient plusieurs symptômes dont ceux de la covid, on nous a demandé d’aller attendre dans la voiture le temps que mon avocat arrange la situation. Pendant ce temps Émilie le professeur de l’année passe à qui on a demandé de venir en cour parce que c’est elle que la DPJ a désigné pour famille d’accueil pour ma fille si on me l enlevait, sors du tribunal et on jase un peu pendant que j’étais déjà au téléphone avec ma mère.
Mon avocat arrive et me dit que c’est arrangé, que la DPJ voulait faire en Visio conférence avec mon cellulaire devant la porte pendant que ma fille vomi ces trippes dans la voiture, il a dit pas question, la DPJ a continué en disant que je la retirerait de l’école, mon avocat a sorti le contrat que je voulais faire avec la directrice et a dit qu’ elle n’avait pas voulu le signer. L’avocat de ma fille a dit que c’était pas du tout la même petite fille qu’il avait vu y as 3 mois, qu’elle avait beaucoup parlé et souris et qu’à la fin de la réunion elle avait dit qu’elle avait aimé ça et qu’elle continuerait bien, il a dit qu’il n’y avait aucun danger dans cette famille et que ce n’était aucunement une situation d’urgence. La juge a donc décidé de reporté dans 3 mois le 15 décembre et de continuer avec la même ordonnances, donc d’aller à l’école, de coopérer avec les intervenantes, de voir le psychologue. Ce sont les mêmes intervenantes qui vont continuer à venir. Je suis parti direct à l’hôpital faire un test Covid pour savoir si c’était ça qu’elle avait, tout de suite l’infirmière dit que c’est surement une gastro parce qu’elle cour en ce moment mais qu’on allait faire le test quand même au cas où, on a fait le test toute les deux, on était négative, j’ai envoyé le message à l’école et dit que je les tiendrais au courant.
21 octobre, il n’y a qu’une intervenante et elle est en retard, je pars l’enregistrement dès son arrivée pour être sûr de ne rien manquer. Tout se passe comme d’habitude, elle est souriante et moi aussi. Elle s’assoit à la table et son ton est comme d’habitude lui aussi, ça devient condescendant, elle se met à poser ses questions, toujours les mêmes redondantes puisque c’est tout ce qu’elles ont trouvé contre moi. La petite couche dans sa chambre? Oui, plus que dans la mienne, elle se lève des fois pour venir me rejoindre parce qu’elle se réveille, elle dit : « ah donc elle a de la difficulté à rester dans sa chambre. » je réponds qu’elle dort mal parce qu’il arrive toute sorte de chose, qu’elle se réveille aussi dans ma chambre, que ça lui arrive jamais de mal dormir? Ensuite elle me parle bêtement du papier que la directrice à signer, je lui dis que non elle l’a pas signé qu’elle ne voulait pas parce que c’était trop personnel et me dit donc les histoires de plans c’est fini? Je dis oui. Elle me demande si J’ai eu des nouvelles du CIDDT avec un ton de mépris, que ce n’est pas ce qu’elle m’avait demandé mais bon…je lui dis qu’en premier de tout elle m’avait dit que ça pouvait être n’importe quel intervenant psycho sociale énumérant travailleur social, psychoéducateur. Et là elle me dit c’est moi ça, j’ai dit c’est ce que vous aviez dit en premier ensuite psychologue ou psychiatre. (ca je ne lui ai pas dit à ce rendez-vous, mais avant oui, le médecin pour mon diagnostique c’est un psychologue et c’est exactement ce dont j’ai besoin). Je lui ai dit que ça n’avait pas débuté mais que j’avais les dates, je lui ai remise et le 23 je dois me rendre à st-Lambert à 4 heures de routes donc elle me dit et la petite ira ou, je lui dis chez ma mère elles pourront passer du temps seules que ça c’est une bonne chose pour elle et que je resterai deux jours du 22 novembre au soir au 24, elle reviendra donc à l’école le 25. Elle me parle encore de l’autonomie de ma fille, je lui dis qu’elle va à l’école et qu’elle couche dans sa chambre qu’est-ce qu’elle veut de plus? Elle dit qu’ elle est jamais sans moi, qu’elle va à l’école mais c’est parce que je peux pas aller dans la classe, je lui dit que j’en avais pas envie non plus, elle dit qu’elle doit voir des gens sans moi, je lui dit que c’est déjà fait qu’elle est allée a une fête, elle répète bêtement et vous êtes resté avec elle!? Je dis non et qu’une fois elle est allée chez ses amis à st-Pamphile et que ma voiture n’a pas démarré, elle est resté seule le temps que j’arrange ça. Je lui dis après tout ça vous continuez dans cette voie? Ça ne se peut pas qu’elle soit là pour aider qui que ce soit, elle n’est pas capable d’avouer qu’elle s’est trompé, même après que l’avocat de ma fille est changer d’idée, tous les documents que j’ai fourni! Elle me demande si j’ai pris d’autre vidéos, je dis non mais que s’il fallait j’en prendrais, elle dit ah donc vous utiliseriez votre fille? (Pour nous défendre autant qu’il faudra) Je lui dis que je suis contente que ce soit les avocats et la juge que je doive rassurer, elle me dit qu’elle me le disait depuis le début, mais que c’est aussi elle que je devais rassurer que c’est elle qui venait chez moi, je lui ai répond que c’était justement pour cette raison que j’avais fait des vidéos. Elle m’a ensuite demandé si j’avais avancé dans mon travail que je voulais faire, je lui dis pas tellement, on s’est fait des amis qu’on a vu pratiquement tous les jours après l’école, je vais porter et chercher ma fille tous les jours, c’était ça la priorité. Elle m’a parlé de signer un papier pour qu’ elle puisse avoir mon bilan sur mon diagnostique, je lui ai dit que j’allais en parler avec mon avocat, que je ne signerait pas de papier en ce sens puisqu’elles m’en ont fait signer un en hypocrite la première fois en me disant que c’était pour le bilan de santé de ma fille, elle me dit que je devrai lui remettre tout ce que je remets au juge, je lui répond oui justement, ce que je remettrai au juge. Elle s’est énervée, elle m’a dit avec son ton condescendant « c’est ça que je vous donne comme devoir, parler avec votre avocat! ». Comme devoir!? C’est n’importe quoi cette femme et son « aide », s’en prendre à ma fille et l’utiliser contre moi, elle lui en a assez fais vivre, et je lui ai donné assez de chance de se rétracter.
La petite est souvent malade, elle a manqué du 9 au 12 novembre et comme elle avait mal à la gorge, on me donnait le choix de la garder 10 jours ou d’aller passer le test de dépistage. J’ai choisi de la garder 10 jours puisqu’elle avait besoin de repos et que le test ne peux se faire qu’à Montmagny ou La Pocatière. Mais l’intervenante m’a téléphoné pour me dire que je ne pouvais pas la garder et quand je lui ai dit qu’on nous donnait le choix elle a répond que les autres n’avait pas une ordonnances d’envoyé leur enfant assidument à l’école, je devais donc aller passer le test, 2 heures de routes avec ma fille qui ne va pas bien à 35$ de gaz ça fait cher le test. Ensuite je suis allé chez le médecin comme ça je pouvais la garder jusqu’au lundi, c’était suffisant pour qu’elle se repose et que je la soigne comme il faut. Le médecin était content de nous aider, tous le savent que la DPJ n’est pas là pour aider qui que ce soit. Et j’en parle partout à tous, je leur dit que j’ai la DPJ au fesse et que je ne suis plus maitre de ma vie, qu’on doit se défendre nous-même, qu’on ne doit se fier sur personne. La vérité doit être dite pour que les choses changent et on ne doit pas se fier à ceux qui disent en regardant par terre ou en se fâchant « ils font ça pour les enfants » en n y croyant pas eux même. Tous ceux qui utilisent la DPJ sont complices.
J’ai parlé à l’orthophoniste/coordonnatrice du CHUL, elle a réussi à m’avoir un rendez-vous avec les 3 médecins physiothérapie, neuropsychologue et la pédiatre dans la même journée. Je lui ai parlé de la DPJ, elle les défend aussi, elle dit que la plupart des gens sont contents de les avoir dans la salle avec eux pour les aider. Parce que je lui ai dit : qu’est-ce que vous faites du secret professionnel? Elle ne comprend pas ce qu’ elles font subir aux gens quand elles sont chez eux, elles font du détournement cognitif, ce qui veut dire qu’ elles jouent dans leur tête en disant des choses et ensuite en disant qu’ elles n’ont pas dit ça et en disant totalement autre chose. En plus de menacer, etc. comme j’ai dit plusieurs fois. Soit les gens ne savent pas, ce qui me surprendrait parce que tous ceux à qui j’ai parlé le savent très bien, mais se font accroire que c’est pour le bien des enfants jusqu’ à ce que je leur raconte ce qu’elles m’ont fait subir. Elle m’a aussi dit que la DPJ lui avait demandé d’appeler si je refusais et qu’elle n’avait pas besoin de faire concorder le rendez-vous avec eux puisque je prenais mes rendez-vous seul. J’ai bien hâte de voir si elles vont venir, cette fois j’ai bien compris j’enregistre et je dis tout ce que je pense à tous ceux rencontrés médecins y compris.
Je suis bien contente que la vie m’est fait voir la vérité, je vais joindre mon témoignage au millier d’autre sur internet. La seule façon de changer les choses c’est d’en prendre conscience, de trouver le courage et d’en parler. Je sais déjà bien des choses, mais le gouvernement m’avait toujours laissé tranquille, j’avais seulement entraperçu par des témoignages, que je croyais d’ailleurs mais comme beaucoup d’autres je me faisais accroire qu’ils avaient peut être raison finalement. Maintenant je sais que non. Ils m’ont maintenant convainque, plus de doute à y avoir.
Le gouvernement n’est pas le problème puisque c’est une entité, c’est comme une arme c’est celui qui le tiens et ce qu’il en fait le problème et non l’arme en soit.
1er décembre, l’intervenante était seule, elle me demande si j’ai parlé avec mon avocat pour les documents à signer. J’ai dit qu’il ne m’avait pas répond mais que de toute façon je ne signerais rien, que la dernière fois elle m’avait fait signer en hypocrite. Elle était insultée, comme d’habitude, elle m’a dit qu’elle était allée voir ma fille a l’école, je lui ai souri. Elle m’a dit qu’elle lui a parlé des médecins parce que j’avais dit que je n’attendrais pas que le fasse une mononucléose. Elle a dit que ma fille était devenue nerveuse et ne sait plus trop comment réagir et a dit qu’elle n’avait pas le droit de parler de ça, qu’elle ne devait pas dire ce mot-là. Je lui ai dit que je ne savais pas de quoi elle parlait et ça m’a touché j’ai dit pauvre petite, elle a répliqué sèchement y as pas de pauvre petite et s’est radouci en trouvant des prétextes à sa réaction et en disant qu’elle voyait bien que je ne lui disais pas de pas nous parler. J’ai dit bien sûr que non je lui dis depuis le début devant elles de dire la vérité et que tout allait bien aller. Je lui ai dit qu’elle ne devait tout simplement pas avoir envie de parler de ça. Quand elle mettait ses bottes sur le bord de la porte je lui ai dit que ma fille était trop petite pour me répéter ce dont elles jasaient avec elle au complet, ça faisait que je n’étais pas au courant de tout et je ne trouvais pas ça correct.
Quand je suis arrivé à l’école pour chercher ma fille je voyais bien qu’il y avait quelque chose qui clochait, les autres fois elle s’empressait de me dire qu’elle avait vu la DPJ et me raconter ce dont elle se souvenait avec un sourire. Cette fois elle ne disait rien, j’ai attendu de préparer le souper et qu’elle soit calme, je lui ai dit en souriant que l’intervenante m’avait dit qu’elle était venu la voir! Elle m’a fait un pouce en l’air avec un sourire moyen, je lui ai dit ça l’air qu’elle t a parlé de médecins? Elle est devenue agitée, les larmes aux yeux, elle a dit je n’avais pas envie d’en parler en s’énervant. Je lui ai pris la main et je lui ai dit que c’était exactement ce que je lui avais répond, qu’elle n’avait pas à s’en faire avec ça.
Encore une erreur de la DPJ à réparer, d’habitude elle pose des questions de son âge, si elle aime l’école, si elle a des amies, c’est à moi qu’elle devait poser cette question.
2 décembre, L’intervenante me téléphone pour me demander si l’autre intervenante pouvait m’accompagner le lendemain au CHUL, je réponds que non, que la dernière fois elles avaient encore agis en hypocrite. Elle me répond mais cette fois non, je dis non quand même, j’avais déjà parlé du secret professionnel, et je répète vous en faites quoi?
En plus la dernière fois elle était supposée rester sans rien dire discrète, elle n’a parlé qu’une fois et c’est encore pour s’en prendre à ma fille. La docteure lui demandait d’expliquer son dessin, elle disait que le chat rêvait a une tarte au poisson, elle disait mmm ca à l’air bon, je trouvais ça bien logique du poisson pour un chat, on souriait et s’amusait et l’intervenante a dit fort et bêtement « ah ben moi je ne trouve pas! Ça n’a pas l’air appétissant. On s’est tous tu et regardé et on l’a ignoré.
7 décembre, ma fille était encore à la maison parce qu’elle était malade, elle allait mieux mais beaucoup fatiguée et comme on avait la journée au CHUL le lendemain je l’ai gardé à la maison pour essayer du mieux qu’elle soit en forme. Les intervenantes m’ont téléphoné ensemble pour me dire d’envoyer ma fille à l’école, je leur ai dit que je devrais passer un test COVID avant de toute façon que j’attendrais a Québec tant qu’à ça, elles me disent que c’est pas à moi à décider que je dois appeler la ligne COVID et leur redonner des nouvelles, je dis que je vais faire ça. Elles me disent que l’appel est pas terminé, qu’elles vont me parler de ce qu’elles vont demander au juges comme ordonnance, je dis ça peut pas attendre un autre jour? Elles disent non! Je leur dit mais ça va être envoyé à mon avocat de toute façon non? Elles disent oui mais on veut vous les dire de vive voix. Je décide donc de les écouter, malgré que ma fille est malade et qu’on doit aller faire un test COVID avant d’aller au CHUL et qu’il est déjà midi. Elles me répètent leur absurdité, sauf que là elles disent bon vous saviez qu’on demandait que votre fille vous soit retirer, on ne demande plus ça, mais on va demander que la DPJ soit dans votre vie pour 1 an et que vous voyez notre psychologue parce qu’on est toujours inquiète pour votre santé mentale et votre capacité parentale. Et qu’elles demanderont une ordonnance pour que les médecins soient obligés de partager leur résultat. (Ma question était donc répondu, elles n’avaient aucun droit sur ça, je leur ai dit qu’elle m’avait eu même dit que le seul droit qu’elle avait c’est d’obliger que je fasse faire un bilan de santé a ma fille) Je leur ai dit que le procès verbale n’était pas clair, eux non plus et les avocats non plus, que j’étais seule dans cette histoire mais que je faisais déjà ce qui m’étais demandé, répondre à toutes leurs questions, les laisser venir chez moi et que je faisais même plus. Elles m’ont aussi dit que ce n’était pas diffèrent pour « Mme Loiselle » d’un ton condescendant, j’ai répond que j’étais bien consciente qu’elles traitaient tout le monde de la même façon et que j’avais bien hâte de voir la juge.
La journée au CHUL (8 décembre) :
Elle s’est bien amusée malgré son nez bouché et son mal de gorge.
La première ça été la neuropsychologue, elle trépignait des fesses sur sa chaise, encore des énigmes! Comme une pro je suis resté dans mon coin à méditer, la docteure l’a écrit dans son rapport qu’elle m’avait trouvé bonne de rien dire.
Avec la physiothérapeute, c’était une jeune stagiaire super gentille, là c’était des épreuves physique, elle a été trop géniale!
La dernière c’était la pédiatre, elle a vu les rapports des autres et fait un bilan de santé en posant des questions, elle a dit qu’on n’aurait pas à se revoir, qu’elle allait très bien.
Je déplore que tous ne cherche que les problèmes des enfants, pour moi ce ne sont que des enfants, pas besoin de catégoriser ou de mettre dans une norme. Je leur ai tous fait part de la malveillance de la DPJ et pointé leur comportement non déontologique de laisser entrer la DPJ dans la salle sans demander l’avis des gens en leur signalant qu’ils pouvaient refuser. C’était évident qu’elles pensaient comme la DPJ, tous ceux ne pensant pas comme eux sont un danger pour leurs enfants. Une chance qu’il y a des lois, malgré la corruption, les preuves ne mentent pas, personne ne peut rien contre les faits, pas dans ce pays, et pas encore. Les faits sont que ma fille va très bien, leur recommandation d’aller à l’école n’est que leur besoin de control, la socialisation peut se faire de d’autres façons, ils ne sont pas là pour aider, ils font des tests prédéterminés, des appris par cœur, remplissent des papiers déjà organisés pour une norme et n’écoute que d’une oreille parce que rien ne les intéresse que de poser leur diagnostique déjà prévu d’avance.
Le procès du 15 décembre :
Les avocats et jugent ont surtout échangé des documents, mon avocats a dit que je voulais la fermeture du dossier et celui de ma fille a dit qu’il voulait aussi la fermeture du dossier vu que pour ma fille la DPJ n’était que des mesdames qui venait la voir et qu’elle souhaitait vivre avec moi. Il a ajouté qu’il réservait tout de même sa décision qu’après avoir entendu mon témoignage.
Ensuite la professeure de ma fille a été interrogé, (sa lettre était malveillante, mon avocat a dû la faire témoigné pour vérifier ses dires) une chance qu’elle est venu témoigner, ses dires ont été prouvé mensonger. (J’aurais bien aimé faire témoigne celle de l’année passée, elle a mis ma fille en danger avec ses mensonges elles aussi)
Il n’y avait plus de temps, il y a donc eu une rencontre entre la juge et les avocats le 28 janvier pour remettre le procès le 13 juillet. Je ne croirai jamais que c’est parce que la juge est trop occupée, il y a anguille sous roche dans toute cette histoire.
1 er février (rencontre teams), elles m’ont dit qu’elles iraient voir ma fille même si je leur avais dit que je ne voulais plus qu’elle la voit sans ma présence, elles ont dit que la loi donnait droit aux enfants de parler sans la présence de leur parents. Elles ont dit qu’elles avaient par contre droit à un accompagnateur qui devraient signer un papier de confidentialité et elles ont reparlés qu’enregistrer ma fille après leur entretien ne paraitrait pas normal! Je leur ai répété que de voir des femmes inconnues (et menaçante de surcroit!)Ça s’était normal? Qu’elles m’avaient menacés avec les vidéos et que pourtant la juge avait eu l’air agréablement surprise, enfin quelqu’un qui n’a rien à cacher! Je leur ai dit que ça faisait plusieurs fois que je devais réparer leurs erreurs avec ma fille.
Elles ont répété que j’avais coopérer qu’au début et que j’avais fait que le 1\5 de ce qu’on m’avait demandé! C’est n’importe quoi j’ai fait plus que demandé et j’ai coopérer j’ai seulement dit ce que je pensais, c’est la seule chose qu’elles pourraient avoir à me reprocher dans tout ça. Elles m’ont répété que je voyais des complots partout, j’ai ri (parce que rire de l’absurde…c’est bon pour la santé mentale…) elles m’ont dit qu’elles ne trouvaient pas ça drôle, j’ai dit « vous vous servez de ça ». (Tout comme de dire que j’ai un trouble mental)
Elles ont aussi encore répété avec de grand yeux brusquement, va-t-elle y aller à l’école? (quelque chose comme ça) elles en reviennent toujours là, comme si c’était la raison de toute cette histoire, mais je l’avais déjà envoyé et elles sont revenus. Je le dit depuis le début qu’elle ira à l’école. Je leur ai dit que je n’avais pas peur d’elles et elles ont répond que ce n’est pas ce qu’elles voulaient…bien sur les menaces ça ne sers pas à ça. Elles ont dit peu importe la petite va mieux maintenant qu’elle va à l’école, j’ai dit « Qu’est-ce qui vous dit que c’est ça, je vous avais dit qu’elle avait besoin de temps, vous l’avez traumatisé en partant en plus d’être gênée! » j’ai rajouté qu’elles pouvaient se faire les accroire qu’elles voulaient.
Je leur ai dit qu’elles m’avaient dit une fois que j’étais sorti de ma zone de confort, mais que c’était elles qui étaient incapable de sortir de leur zone de confort, tellement habituer à ce que les gens aient peur d’elles et fassent tout ce qu’elles disent, aussi qu’on était heureuse avant, pendant et qu’on le serait aussi après. Tout ce qui me vient en tête quand je pense à ces femmes, c’est malhonnêteté et malveillance.
J’ai dit que j’étais rendu au protecteur du citoyen et que ces gens avait l’air plus à leur affaire, elles m’ont dit que ça servait à rien de les menacer avec ça, j’ai dit c’est vous qui me menacez constamment.
Elles m’ont répété que c’était moi qui avait choisi la manière forte, j’ai dit qu’a la deuxième visite elles m’avaient dit « on est la DPJ on fait ce qu’on veut » j’ai dit « ça c’est non pour moi » elles ont dit vous vérifierez mieux vos enregistrement on n’a pas dit ça. Elles nient toujours tout en bloc ou elles se taisent. Je les ai avertis plusieurs fois, elles trouvent ça normal d’agir de la sorte.
J’ai remis tous les documents à mon avocat le mercredi matin et j’attends la réponse de la juge sur la reproduction judiciaire pour compléter ma plainte au protecteur du citoyen.
Le 26 février, j’ai reçu une réponse de la greffière à propos de la reproduction judiciaire, on a eu un problème de communication ça a donc pris environ 1 mois avant que je reçoive sa lettre par la poste qui me demandait de spécifier la raison de ma demande puisque je ne l’avais pas écrite, je lui ai donc dit.
7 mars, l’intervenante m’a téléphoné pour me dire qu’elles iraient voir ma fille à l’école le 16 mars à 10 :30 et qu’elles viendraient me rendre visite ensuite sans pouvoir préciser l’heure mais avant midi. Elles m’ont répété qu’elle pouvait être accompagné pour cette visite, j’ai dit que je n’avais pas plus confiance en ceux de l’école, elle m’a répond que ce pouvait être un bénévole du service des usagers et j’ai répond que j’avais pas plus confiance en ces gens puisqu’il ne m’avait jamais rappeler quand il a dit qu’il le ferait, pas plus confiance qu’en les avocats, juges et autres mais que j’avais confiance en ma fille et qu’on allait se sortir de cette histoire seule comme on fait depuis le début. Elles m’a répond que c’était mon choix, mon choix c’était de ne plus les laisser sans ma présence avec ma fille.
16 mars, elles ont commencé par me poser des questions sur ce qu’on avait fait pendant la semaine de relâche, parler de l’orthophoniste et de comment ça s’est passé. Elles m’ont demandé si je croyais que ça avait aidé ma fille, j’ai dit pas vraiment mais elles se sont bien amusé, ce n’est pas voir une personne une fois par semaine qui va changer les choses, mais elle m’a dit qu’elles m’enverraient des recommandations à faire avec elle pour la suite. Elles m’ont raconté qu’elles étaient allées voir la petite et ce dont elles avaient parlé, pour ensuite me demander si elle irait à l’école en septembre parce qu’elle n’avait pas eu l’air sure quand elle a répond. J’ai dit que oui, qu’elle était inscrite mais qu’on avait parlé d’en reparlé cette été, elles ont dit : « donc c’est elle qui va décider… (Avec une attitude et elle s’est retourné pour écrire. C’est un exemple du détournement cognitif, je ne fais que respecter ma fille, le respect une notion que peu de gens mettent en pratique) mais que c’était sure puisqu’il y avait des avantages avec l’école et que je le disais depuis le début que ce serait l’école tant que je n’aurais pas trouvé une solution plus satisfaisante et qu’en plus elle aime ça. J’ai parlé qu’elle avait commencé à prendre l’autobus et elles m’ont demandé la raison et si le problème du mal de cœur était réglé, j’ai dit qu’elle avait été brusqué l’année passée et qui avait rien qui l’avait aidé, maintenant elle s’assoit avec Angie et je lui ai préparé des tic-tacs, des sacs et une débarbouillette et que je continuerais à y aller si ça n’allait pas.
Elles m’ont dit qu’elles me préviendraient une semaine à l’avance quand elles iraient voir ma fille et que j’avais le droit de choisir quelqu’un pour l’accompagner du comité des usagers, j’ai dit que je ne rajouterais pas d’inconnu dans cette histoire, qu’elles lui en avaient déjà assez fait voir.
Elles ont parlé des résultats des médecins qui leur avait été transmis la veille par mon avocat, je leur ai dit « vous me respectez maintenant? Vous n’avez pas la même attitude ». Elles ont dit pas parce qu’on vous dit ce qui aie que ce sont des menaces, j’ai répond qu’elles pouvaient dire ce qu’elles voulaient que j’avais des preuves, elles m’ont dit justement notre avocate n’a pas reçu de preuves, j’ai répond qu’en tout cas mon avocat m’avais demandé les enregistrements( Tout les documents et mes agissements sont des preuves plus que suffisantes de toute façon, mais j’irai s’il le faut jusqu’à engager un spécialiste pour analyser les enregistrements). Elles m’ont demandés ce que je pensais des résultats, j’ai dit elle va très bien, elles m’ont dit oui effectivement les résultats sont vraiment super, j’ai répond que je savais déjà ça que je l’avais fait pour avoir des preuves pour leur mettre ça dans le nez parce que ce qu’elles font ce n’est pas bien. J’ai dit que je croyais en l’amour et que nous défendre contre elle c’était de l’amour pour ma fille et moi, elles ont répond qu’elles ne m’avaient jamais reproché de ne pas aimer ma fille (le point n’était pas là, mais elle n’a pas compris la philosophie, je n’ai pas insisté). Ensuite elles m’ont demandé ce que je pensais des recommandations d’aller à l’école, j’ai dit c’est correct mais elles font comme vous, elles n’écrivent dans leur rapport que ce qui leur conviens. J’ai dit que ma fille irait à l’école, mais que je ne regrettais rien de ce que j’avais fait l’année passée et que je voulais reprendre mes droits, que personne n’était mieux placé que moi pour prendre les meilleurs décisions pour ma fille, que j’avais très bien fait ce que j’avais à faire que j’avais plus de preuves qu’elles sur l’école à la maison. Elles m’ont dit qu’elles sont arrivé chez moi et que je voyais personne, j’ai répond oui en pleine pandémie et même maintenant les gens ont pas envie d’avoir du monde chez eux, (même avant j’ai essayé à plusieurs reprise pendant des années, mais on allait au parc souvent et je l’ai toujours encouragé à jouer avec les autres enfants). Elle a commencé à dire que ma fille allait mieux maintenant, j’ai répond qu’elle allait bien avant et qu’elle n’avait besoin que de temps, (pour se remettre de leurs agissements et s’adapter à sa nouvelle situation) elle me dit je suis en train de vous dire que vous êtes bonne, j’ai répond non vous vous lancer des fleurs elle dit a bon je vous dirai pas de bonne chose, j’ai dit c’est ça gardez-vous les…
Elles ont parlé du CIDDT, elles m’ont dit donc ce que ça dit c’est que vous n’êtes pas en douance. J’ai répond qu’elle n’avait pas pu le prouver dû au fait que j’avais un profil hétérogène mais que avant ce test j’étais sûr à 80% et maintenant à 95%, elle me dit donc vous croyez que votre différence proviens du fait que vous êtes en douance, j’ai répond oui.
Je leur ai dit que j’avais trouvé le mot que je ne trouvais pas pour définir ce qu’elles faisaient, le détournement cognitif et en anglais gaslighing qui causait la dissonance cognitive.
Elles se sont mises à me dire qu’elle espaçait les visites parce que ça servirait à rien de demander au deux semaines si je voulais un intervenants pour nous aider dans notre relation puisque je disais toujours non et qu’ elle devait attendre de voir la juge,( c’est depuis le 15 septembre que nos visites sont espacées de plus d’un mois, avant c’était chaque semaine) elles m’a dit on est pas là pour vous obliger à rien…j’ai dit que j’avais fait tout et même plus que ce qu’ on m’avait demandé, quand j’ai vu leur air j’ai donc spécifiés, ce que la juge m’a demandé et ce qui étais bon pour nous! Je leur ai dit « donc vous aller continuer dans cette voie? » Elles ont dit oui nous pensons qu’il y a du danger pour votre fille, j’ai répond « parfait c’est un défi à ma taille! »
26 avril, J’avais décidé de les filmer quand elles arriveraient, j'ai toujours été honnête donc cette façon me convenait mieux.
Elles ont dit "ah vous filmez?" J'ai dit : " oui"
Elles ont dit : " ok mais vous devez nous filmez de dos on ne veut pas que vous filmiez notre visage pour le mettre sur internet."
Je réponds " Ce n'est pas vous qui décidez, J'ai parlé avec mon avocat et à l'avenir je filmerai, j'aurais même eu le droit de filmer à votre insu."
Elles répondent : " bien maintenant on le sait donc on ne veut pas que vous filmiez notre visage."
Je réponds donc la prochaine fois c'est ce que je ferai, je vous filmerai à votre insu.
Je réponds encore que j'ai parlé à mon avocat et qu'elles devraient remettre la rencontre et parlez avec la leur.
Elles vont téléphoner et revienne en disant c'est bien ça vous pouvez enregistrer et nous filmer de dos, mais pas le visage.
Je réponds que mon avocat m'a dit une chose et que la leur une autre je dois donc reparlez avec le mien, elles disent que ce n'est pas leur avocat mais leur coordonnatrice avec qui elles ont parlés.
Elles me disent : " Donc vous refusez notre aide et assistance? "
Je réponds que ce n'est pas de l'aide qu'elles m'offrent que je leur dit depuis le début que je dois me défendre contre elles. (Tout le monde rêve d’être aidé avec des menaces, de l’intimidation, du harcèlement et de la manipulation, je leur dit depuis le début que je n’ai pas besoin d’aide et je l’ai amplement prouvé en faisant tout moi-même) Que sur le procès-verbal il est écrit que je dois les laisser entrer pour qu'elles voient que ma fille est en santé et sécurité. Elles me disent que c'est pour les parents aussi, (elles n’écoutent rien, elles me l’ont dit à deux reprises qu’elles s’en foutaient de ce que je faisais, elles viennent que pour une chose, transformer mes dires et ceux de ma fille et inventer des nouveaux problèmes chaque fois) que la question n'est pas là, que je refuse donc qu'elles entrent. J’ai dit je vous laisse entrer sauf que je filme, elles me disent mais pourquoi filmer puisque vous avez l'enregistrement, je réponds que l'enregistrement ne montre pas tout et que pour le reste on verra ça devant la juge.
Elles répondent que c’est une faveur qu'elles me font de venir chez moi parce qu'elles pourraient me convoquer, que c'est rare que ce soit elles qui se déplacent à chaque fois (elles vont voir ma fille en même temps...) et finissent en disant donc vous refusez qu'on entre? Pas si vous voulez que je filme et me dise que ce sera donc à moi à venir vers elles pour la suite, que nos avocats parleront ensemble.
Je leur dit que ça fais déjà un moment qu'elles devraient savoir que tout va bien ici que tout a été dit, que je n'avais plus rien à leur remettre et que maintenant ce n'était que de l'acharnement (s’en ai depuis le début, maintenant c’est prouvé, je sais pertinemment qu’elles n’ont qu’à retirer leur plainte et tout serait fini, mais elles veulent me convaincre du bienfondé de leur intervention pour ne pas perdre la face, l’orgueil les mènent aucunement le bien de qui que ce soit).
Elles ont dit : « on va y aller maintenant parce que ça nous met mal à l’aise d’être filmé comme ça. »
En s'éloignant elles me disent de ne pas oublier que j'ai une injonction? (je ne suis pas sure du mot qu’elles ont employé) et qu'elles s'en vont voir ma fille. Je croyais qu'elles y avaient déjà été puisqu'elles y vont toujours avant d’habitude et leurs retard m’avait fait pensée que ma fille en avait eu long à dire avec sa fête qui avait eu lieu samedi.
Depuis le début j’ai pris en note tous les activités que nous faisions pour que ma fille voit d’autres enfants, et soit raconté pendant les visites soit envoyé par courriel aux intervenantes.
Le 6 mai, j’ai reçu la reproduction judiciaire. C’est l’avocat de ma fille qui aurait dû s’en servir pour la défendre. Ça me donne un peu d’espoir sur l’impartialité et le bon vouloir des juges.
Le texte à la juge pour ma demande de reproduction judiciaire :
Mon motif pour la reproduction judiciaire est celui-ci : sur le procès-verbal il est écrit que l'avocat de ma fille a dit une chose, mais ce n'est pas ce que je me souviens et ça ne voulait pas dire du tout la même chose.
Je prépare une plainte au protecteur du citoyen parce que depuis le début de mon histoire, c'est bien évident que mes droits et ceux de ma fille ne sont pas respectés. Déjà la durée de ce procès (5 minutes) et l'attente dans le corridor (environ 3 heures), démontre le peu de respect qu'on nous a démontré, on n'a aucunement eu droit à une défense digne de ce nom en plus d'être traité d'une façon abjecte. J'ai donc monté un dossier et une défense moi-même et ce document est une pièce essentielle, j'espère votre soutien.
25 mai, la DPJ m’a appelé pour me dire qu’elles n’avaient pas de nouvelles à propos du fait que je devais les recontactés après avoir parlé avec mon avocat à propos du fait de filmer les rencontres, je lui ai dit que ce n’était pas ce que j’avais compris. Elles m’a dit qu’ elle avait parlé avec son avocate qui lui avait confirmé avoir parlé avec le mien sur le fait que filmer c’était interdit. Je lui ai dit que je rappellerais mon avocat tout de suite après notre appel, elle a dit que notre rendez-vous se passerait à leur bureau cette fois et qu’elle me rappellerait le jour d’avant pour savoir si je filmerais, si oui, le rendez-vous serait annulé.
J’ai téléphoné mon avocat, il ne m’avait pas rappelé parce que pour lui on en avait déjà parlé, j’ai le droit de filmer. Si je n’avais pas fait ces enregistrements, je n’aurais aucune preuve de leurs mensonges ou de leurs agissements, déjà on ne voit pas leur gestuels et facial, c’est pour cette raison que je veux filmer.
Elles ne m’ont pas parlé qu’elles iraient voir ma fille.
30 mai, plutôt que d’attendre l’appel de l’intervenante, j’ai envoyé un courriel pour dire que puisque j’en avais totalement le droit je filmerais et en même temps j’ai envoyé le document des activités que ma fille a fait depuis notre dernière rencontre.
Elle m’a réécrit, sa réponse :
Je viens de communiquer avec notre avocate, qui doit rediscuter avec votre avocat, puisqu'une fois de plus, je refuse que vous me filmiez. Je vais donc laisser le temps à nos avocats de discuter ensemble afin que le tout soit mis au clair.
Je vais donc repousser la rencontre de demain (mardi) à jeudi (2 juin) 10h au bureau de Montmagny. Cela laissera le temps à nos avocats de se parler. Une fois de plus, je sollicite votre collaboration puisque nous avons présentement une ordonnance en cours.
Je vais vous appeler mercredi pour reconfirmer le tout avec vous,
Merci et bonne fin de journée
Voici ce que j’ai écrit à mon avocat :
J'ai envoyé un message ce matin à l'intervenante lui signifiant que j'avais parlé avec vous à propos de filmer et comme j'étais en droit de le faire je le ferais donc.
Elle m'a répond qu'elle avait encore demandé à son avocate de discuter avec vous, qu'elle remettait donc le rendez-vous prévu à jeudi et elle me demande de collaborer parce que je suis sur une ordonnance. Je ne vois pas en quoi parlez avec vous changerais quoi que ce soit, elle m'a dit et je lui ai dit, elle ment et je dis la vérité, une fois de plus.
De mon point de vue c'est elle qui ne coopère pas, elles n'ont qu'à dire oui. Depuis le début que je dis que j'ai bien hâte de voir cette juge, avec tout ce que j'ai comme preuve et défense, ce n'est certainement pas un faux manque de collaboration qui va changer la donne, elle me répète cette rengaine depuis le début et j'ai collaborer tout le long. Mensonge, mensonge et mensonge, c'est assez et si elles veulent voir ma fille j'ai vu qu'elle pouvait elle aussi filmer, c'est donc ce que l'on fera. Elles nous ont assez fait de misère, j'ai des preuves de leur mauvais comportement et si la juge ne les prend pas en compte et prend pour elles parce que j'ai eu la décence de défendre ma fille, je porterai plainte au barreau! (après avoir tombé sur un article du journal le soleil sur la corruption des juges et des avocats (ce qui confirme ce que j’ai déduit de mon vécu) j’ai cherché comment porter plainte contre un juge, c’est à la magistrature, j’ai vérifié en même temps si la juge avait déjà eu une plainte contre elle, heureusement les deux que j’ai eu n’en ont pas)
Bonne soirée
Elles auraient aussi bien pu faire les rencontres restantes par téléphone, probablement une restante avant la date de cour, à moins qu’elles voulaient faire comme quelque jours avant le procès du 15 septembre et tout faire pour me déstabiliser en usant de menaces et de détournement cognitif, comme si ce n’était pas assez de me menacer de prendre ma fille.
J’ai réécrit à l’intervenante en disant que je ne changerais pas d’idée et que je m’arrangerais avec la juge.
Elle m’a répond le mercredi soir à 18 :00 (Elle avait deux jours pour me répondre et pourtant elle m’écrit la veille de notre rendez-vous prévu le matin, quand leur bureau sont fermé en me disant de reconfirmer rapidement)
Bonjour Mme Loiselle,
Avez-vous parlé avec votre avocat depuis lundi? Si oui, que vous-a-t-il dit?
Merci de me reconfirmer le tout rapidement afin que je confirme ou non le rendez-vous de demain.
Bonne soirée
Ma réponse :
Bonsoir Mme,
Non je n'ai pas reparlé avec mon avocat depuis le dernier message que je vous aie envoyé lundi.
Tout a déjà été dit, je ne vois pas ce que je pourrais dire de plus.
Bonne soirée
Elle m’a répond :
Bonjour,
Veuillez donc ne pas vous rendre au bureau pour la rencontre prévue cet am. Je vous reviendrai pour la suite des choses.
Bonne journée
On m’a dit qu’elles ne pouvaient pas arrêter de venir me voir comme ça, elles n’ont pas le droit de faire ce qu’elles font depuis le début et elles le font quand même.
7 juin mon avocat m’envoie une lettre qu’il a reçu de leur avocate et me dis ce qu’il va leur répondre en me demandant si ça me convient. La lettre dit que leur cliente ne veulent pas être filmé et sont en droit de refuser et que par le fait même je contreviens a l’ordonnance de la juge de procéder au visite des intervenantes.
Mon avocat répond que je suis prête à collaborer comme je le fais depuis le début en utilisant mon droit de filmer, que ça restera confidentiel et sera partager seulement avec la juge, si nécessaire…
Je lui réponds que cette réponse me semble des plus adéquates.
8 juin je reçois un message de l’intervenante, me disant qu’elles ont été voir ma fille a l’école aujourd’hui. Premièrement elles m’ont dit qu’elles m avertiraient 1 semaine à l’avance avant d’aller la voir, deuxièmement quand ma fille est arrivée de l’école elle m’a dit que c’était deux nouvelles mesdames qu’elles ne connaissaient pas et pourtant dans le message elle me dit que c’est elles qui sont allées. Je n’ai pas eu le temps de les avertir que je voulais filmer puisqu’ elles ne m’ont pas averti d’avance et elles ont agis très vite, leur manière tordu de faire depuis le début, sans foi ni loi.
14 juin appel de l’intervenante, elle me demande si mon avocat m’a parlé du courriel envoyé par leur avocate, je dis que oui mon avocat m’en a fait part et qu’il avait donné une réponse. Je lui demande pourquoi passé par les avocats si vous me demandez? Elle dit qu’elle n’a pas reçu la réponse de son avocate et qu’elle allait la relancé avec ça. Elle me dit que je contreviens à l’ordonnance et je lui dis que non et qu’à l’avenir ma fille aussi avait le droit de filmer c’est donc ce que nous ferons, elle dit que non elle n’a pas le droit, je lui dis qu’elle ment constamment, que oui ma fille à ce droit. Elle dit qu’elle trouve ça dommage que je coopère encore moins que y’as rien pour la rassurer, je lui dis qu’elle dit ça depuis le début de toute façon que ce n’était pas elle que je devais rassurer mais la juge et que j’avais très hâte maintenant de la voir. Je lui dis qu’elle pourrait faire la demande de fermeture de dossier, qu’avec tout ce que j’ai démontré ça devrait être terminé cette histoire. Elle me dit que j’ai raison pour la fermeture du dossier mais qu’elle a encore des inquiétudes à propos que j’envoie ma fille à l’école, qu’elle avait essayé de me dire la dernière fois que j’avais bien fait les choses mais que je lui avais dit qu’elle se jetait des fleurs (j’ai expliqué ca plus haut dans la dernière visite, elle déforme encore la vérité). Elle a dit que mon avocat avait demandé une fermeture de dossier, je lui dis que l’avocat de ma fille aussi, elle dit que celui de ma fille n’a rien demandé de tel, qu’il doit prendre en compte les faits avant donc entendre le témoignage de la mère. C’est ce qu’il a dit, qu’il demandait la fermeture du dossier mais gardait son jugement finale après avoir entendu le témoignage de la mère, (après vérification du procès-verbal, il est écrit qu’il va attendre mon témoignage seulement, je me souviens pourtant de ce qu’il a dit) je lui dis qu’il doit défendre ma fille en quoi mon témoignage à avoir là-dedans? Je lui dis que de toute façon j’avais demandé la reproduction judiciaire du premier procès et que je demanderais celle-là si c’était nécessaire, elle me répond que ça servait à rien de la menacer avec ça…je n’ai rien répond. Je lui dis que je ne suis pas inquiète du tout de voir la juge, elle me répond qu’elle non plus.
Elle m’a dit qu’elle m’avertissait une semaine à l’avance pour aller voir ma fille parce que j’avais demandé qu’elle soit accompagné, mais que j’avais dit que je n’avais confiance en personne (et elle le répète deux fois), je lui rétorque que j’avais dit que je ne voulais plus qu’elle la voit sans ma présence.
Elle me demande ce que j’ai l’intention de faire l’année prochaine, elle me dit que j’avais inscrit ma fille, je dis oui, est-ce que je l’ai désinscrit? Non… Je lui dis que j’ai beaucoup à m’occuper avec tout ce qu’elles nous font vivre, je me concentre pour l’instant à me préparer pour la cour, je lui dis que je me demandais s’ils étaient payés aux nombres d’enfants qu’ils traumatisaient…et aux parents aussi d’ailleurs. Elle me demande si j’attends la journée de la cour pour savoir si j’envoie ma fille ou pas. Je lui dis que pour l’instant ma fille est en sécurité, je pense surtout à ma défense et que je lui en reparlerai cet été et que je verrai comment elle se sent, elle me demande si elle a été intimidé ou maltraité à l’école, je lui dis non qu’il y a seulement des chicanes d’enfants, elle dit que ça arrive à cette âge, je réponds que oui. Je lui ai aussi dit qu’elle avait tellement été malade, elle a dit j’imagine qu’elle a attrapé tout ce qui passait, j’ai dit oui.
Elle m’a demandé si j’avais des plans pour l’été, je lui ai dit qu’on irait au parc, à la plage, elle me demande si je l’inscrit à des activités, je réponds que non, que ce sont les mêmes que l’année passée et que ça ne lui tente pas. Qu’elle préfère le parc et voir ses amis là-bas, elle me demande si c’est ceux rencontré à l’école, je dis oui. Elle me demande si elle va aussi aller chez des amis, je lui répète que ce sont les parents qui ne veulent pas, que ce n’est pas moi et elle me demande si moi je les prends chez moi, je réponds que c’est la même chose, qu’on doit apprendre à ce connaitre avant que les parents veulent, ça se fait pas comme ça. Je dis qu’elle a été à des fêtes, elle me dit que la petite lui en a parlé la dernière fois. Elle m’a dit que j’avais parlé d’un cours artistique, je lui dis que j’avais trouvé la danse mais que c’était la semaine le soir pendant l’école et que c’était trop tard le soir.
Ensuite elle m’a parlé toute contente comme une enfant de son nouveau bureau et si j’avais son nouveau numéro de téléphone, je lui ai répond que tant qu’elle avait le même courriel, puisque c’est la seule façon que je communique avec elle, le reste ça changeait rien.
Elle m’a demandé si j’avais l’intention de faire quelque chose pour ma santé mentale, j’ai dit non que j’avais déjà tout fait. Je me demande si les intervenants ont des tests psychologique à passer, ce serait pertinent et prudent à mon avis parce que certain comportement tendent à démontrer un trouble de la personnalité. (Chaque fois qu’elles parlent gentiment, c’est pour faire tomber les barrières et mieux attaquer par la suite, ça fait partie du détournement cognitif. En plus du sourire de prédateur, le plaisir évident de voir l’autre souffrir, l’abus de pouvoir, etc.)
Elle m’a dit que faire la rencontre par téléphone et aller au parc c’était mieux que rien, sur un ton condescendant. J’ai eu de la difficulté à garder mon calme pendant la discussion, c’est difficile de tolérer cet acharnement, et cette malveillance.
29 juin, je devais transmettre les derniers documents avant le procès dans les délais, en lisant j’ai vu qu’on devait transmettre les documents 10 jours maximum avant le procès, je me suis rappeler que la DPJ m’avait transmis leurs documents la veille par huissier pour le procès du 15 septembre. J’ai eu mon nouvel avocat le 13 septembre donc ces documents auraient dû m’être transmis comme à tous les autres 10 jours avant. La juge ne les a pas sanctionné ni même averti, avec toute ces irrégularités et illégalités c’est assez difficile de croire que personne ne s’en rend compte.
8 juillet, en cherchant des renseignements j’ai découvert un article parlant de la nomination d’une directrice nationale de la protection de la jeunesse en rapport avec les recommandations de la commission Laurent. Tout ce que je dénonce est constaté dans cette commission, si je suis naïve de croire en la justice, en l’égalité pour tous et en la bonté, je suis heureuse que ceux qui dictent les lois et ceux qu’on mandate pour les vérifier pensent comme moi. Le problème ne sont pas les lois, mais ceux qui les enfreignent à leur convenance, encore pire quand c’est ceux supposé les mettre en pratique et absolument inacceptable quand c’est ceux supposé protéger les enfants.
13 juillet, ma mère et mon frère sont arrivés la veille pour fêter ma fille et la garder pour que j’aie la tête tranquille. J’arrive en cour à 8 : 45 en forme et de bonne humeur, mon avocat est là et me dit qu’il y a un cas urgent qui doit passer avant moi (il n’y a que la DPJ qui peut avoir des urgences… ) donc qu’il ne sait pas si je passerai ce matin ou si ça ira en après-midi. Ils ont pris deux heures pour je ne sais quoi faire et le procès urgent à commencer et à durer environ 30 min. ensuite mon avocat est venu me dire que je ne passerais pas aujourd’hui finalement mais que je devais venir dans la salle pour régler un détail. L’autre procès n’était pas encore terminé, ils voulaient seulement me laisser tous partir donc je m’assois a la seule place de libre, derrière l’avocate de la DPJ, je ne voyais rien et avec la juge qui est sortie et rentrée et les gens ne suivaient pas bien de se lever en même temps qu’elle bougeait je me sentais un peu désorientée je me suis donc mise au bout du bureau presque dans l’allée et la juge m’a vue et dit bonjour, j’ai été surprise j’ai dit salut avec un grand sourire, la greffière en a profité pour me sourire aussi. Finalement c’était la DPJ qui voulait se plaindre parce que je voulais les filmer, elle leur a répond qu’elle me se mêlait pas de ça, mais elles ont insistées parce que c’était conditionnel à nos rencontres. J’ai dit que c’était parce qu’il y avait des choses pas correct qui se passait, la juge m’a dit qu’elle me donnerait toute la journée du 16 novembre pour être sure qu’on règle ça à cette date. Mon avocat a dit que pas parce que je n’étais pas d’accord que je ne collaborais pas et l’avocat de la petite a dit que ça faisait plus d’un an que ça durait. Au deux j’ai dit exact et j’ai aussi dit que mon dossier était complet, c’est un peu absurde que ça ne finisse pas. Elle a regardé la DPJ et a dit qu’elle ne comprenait pas pourquoi elle non plus. Elle a dit que je ne pouvais pas filmer pour droit à l’image et en regardant mon avocat que j’étais sous ordonnance (comme la DPJ qui croit que c’est mon avocat qui décide pour moi, ils doivent tous être habitué que ce soit comme ça que ça marche), mais que je pouvais continuer à enregistrer. J’ai terminé en disant que j’espérais être aussi prête que maintenant parce que je me sentais vraiment prête et la juge a répondu gentiment « oui, moi aussi j’étais prête ». J’ai été tellement calme, patiente et confiante que mon attitude à tout dit.
22 juillet, en revenant de ma marche j’avais reçu un message de la DPJ disant de rappeler qu’elle avait besoin de me parler. Je rappelle et elle me dit qu’elle voulait s’assurer que je ne filmerais pas, je dis bien sûr que non la juge m’a dit que je n’avais pas le droit, et elle me le redemande encore. Je dis que je continuerai par contre à enregistrer, elle dit oui ça c’est correct. Elle me dit qu’elle viendra voir ma fille en même temps, je lui dis qu’elle sera la comme d’habitude. Je n’ai pas gardé l’enregistrement parce que je me suis dit qu’il n’y avait rien de compromettant en même pas cinq minutes, c’est une erreur, je dois tout garder.
28 juillet, elles sont arrivées en retard de 30 minutes et elle était accompagnée d’une nouvelle intervenante. Elle a dit à ma fille qu’elle la rencontrerait après avoir parlé à maman en lui parlant exagérément enthousiaste, comme si ma fille ne voyait pas sa fausseté. J’ai dit à ma fille d’aller dans sa chambre qu’elle lui parlerait après en souriant et la regardant de façon calme et rassurante.
Elles m’a posé les questions sur ce que ma fille a fait et je dis que je lui enverrai le document que j’envoie habituellement dès leur départ (elle a fait comme si elle était surprise que je lui envoie en me demandant quand est ce que j’allais l’envoyé et j’ai dit dès votre départ, elle a fait son visage la bouche croche de quelqu’un qui ne croyait pas que j’allais faire ça et que j’ai pourtant fait dès le début), je lui ai dit que ma fille avait été chez sa meilleure amie, elle m’a demandé qu’ est-ce que j’avais fait pendant ce temps, j’ai dit que j’avais été me promené et faire des commissions et elle a dit ah bon alors vous leur faites assez confiance pour la laisser chez eux! Elle me demande si ma mère et mon frère sont venus je dis oui qu’ils sont venus la fêter et s’occuper d’elle pour le procès, elle dit je me demandais ou était ta fille... (Comme si j’allais l’emmener en cour, le 15 décembre elle s’est fait garder par une amie) et quand j’ai parlé de la fête au village ou les filles avaient joué ensemble, j’ai dit que l’ambiance était chaleureuse et que j’avais confiance aux gens présent, en disant que ça se sent ces choses-là. (Elle fait comme si je n’avais confiance en personne, mais c’est en eux et tous ceux rencontrés depuis qu’elles sont dans ma vie en qui je n’ai pas confiance et j’ai bien raison, j’ai les preuves, mensonges, intimidation, de la part des médecins, professeur, avocat, DPJ. C’est un fait et non voir des complots partout, c’est une phrase parmi tant d’autre utilisé par les malfaisants pour faire taire ceux qui ont le courage de dénoncer, comme de dire que c’est pour le bien des enfants quand ce l’est clairement pas.)
elles a commencés à tourner en rond quand on a parlé de l’école, je lui ai dit que je comprenais son jeu maintenant (détournement cognitif) qu’ elle déformait et transformait ce que je disais et que je ne répondrais pas sans la présence de mon avocat en riant. Elle a dit pourtant ma question est claire(sur un ton sévère condescendant, c’est pour tenter de me faire dire ce qu’ elle veut et non ce que je dis) et elle la répète j’ai dit oui exactement elle va à l’école, on aimerait mieux faire l’école a la maison mais je veux qu’elle voit des enfants donc c’est mieux d’aller à l’école, elle me dit que si elle n’était pas dans ma vie elle irait à l’école quand même, je lui dis oui, c’est ce que je dis depuis le début! Elle me dit que la dernière fois j’avais pourtant dit que je voulais en parler avec ma fille, j’ai répond oui pour être sure qu’elle était bien. Je lui dis que je ne l’envoie pas à l’école parce qu’elle m’a menacé, intimider et harceler, et elle me demande si je n’avais pas d’ordonnance si je l enverrais, je dis oui la même chose, elle me demande si je l’envoyais toute l’année, je l’ai regardé avec un air découragé, un robot avec un algorithme, voilà ce qu’elles sont si on ne dit pas les bons mots qu’elle s’attend à entendre elle n’entend rien. Je lui ai dit qu’elle n’écoutait rien (trop occupé à inventé et chercher des problèmes qui n’existent pas), elle a dit bon c’est de ma faute, j’ai répond : en grande parti oui. (L’autre parti étant ceux l’entourant qui la laisse agir de cette façon en sachant que c’est mal).
Elle me demande si ma fille couche dans sa chambre, je lui dis non, elle me demande depuis combien de temps, je lui dis qu’elle n’a pas couché longtemps dans sa chambre qu’elle m’a demandé de revenir et que j’ai dit oui vu tout ce qu’on vivait déjà, elle me dit qu’est-ce que vous vivez? Vous parlez de nous dans votre vie? Je dis oui, elle se demande à quel point ça met du stresse… j’ai répond de moins en moins, vous aviez rien du début et vous aurez toujours rien, je ne suis pas un cas de DPJ, elle me dit que c’est de mon point de vue, je réponds du point de vue de la loi aussi et j’ai la preuve en plus de document officiel l’attestant! Elle me demande comment je me sens que ça dure encore jusqu’ en novembre en me disant qu’elles continueront à voir ma fille a l’école avec un sourire malfaisant (c’était clairement une menace). J’ai dit que j’étais patiente, que c’est ce que je faisais depuis le début attendre de voir la juge et que le 16 novembre ce serait définitivement fini. Je dis justement je veux être prévenu et j enregistrerai, elle me dit que non je n’ai pas le droit, je dis que la juge a été clair pas le droit de filmer mais enregistrer oui et avec un sourire j’ai dit qu’on devrait repasser voir la juge pour régler ça, c’était bien d’avoir eu la chance de lui parler. Elle a dit qu’ on se reparlerait par avocat sur ce point, elle me sort l’article de loi sur l’enfant qui a le droit de s’exprimer librement sans la présence de leur parent(ca n’a rien à voir avec le fait d’enregistrer), je dis qu’ est-ce que vous pourriez bien parler avec un enfant de 8 ans!? (Elle se sert d’elle pour m atteindre, c’est épouvantable) Vous lui avez parlé toute l’année, elle dit que vu qu’ elle m’aime elle pourrait vouloir dire ce qui me plait (franchement on a rien à cacher c’est pas comme si j’étais une criminelle et que je lui demandais de rien dire, elles lui ont parlés toute l’année à l’école et je nous défend parce que justement elles l’ont rendu mal à l’aise à au moins deux reprises en plus de l’avoir traumatisé au début, un moment donné ça va faire, personne ne nous défend on nous laisse seule avec ces femmes malfaisantes en nous disant que c’est pour le bien de ma fille!), je dis c’est vous avec vos agissement qui pourriez lui faire peur. Elle dit que ça fais pas naturelle d’enregistrer, je dis que je vous l’ai déjà dit, comme si ça faisait naturel d’avoir des femmes qui vient et lui pose des questions, elle dit mais ça c’est la vie (tout ce qui fait leur affaire est correct, tant pis pour les enfants)! Elle me repose les mêmes questions sur si je ferai quelque chose pour ma santé mental et voir un éducateur, je lui dis que non tout va très bien et elle parle de ses inquiétudes et me dit que je sais ce que j’ai à faire si je veux que sa arrête, je dis que je fais déjà ce que je dois faire et que c’est de les laisser entrer chez moi et voir ma fille et elle dit et aller à l’école, je dis exact et je le fais. Elle me dit ce qu’ elle me reproche en me disant que je pourrai pas dire qu’ elle ment, je lui dit oui ça vous le dites…(elle continue à parler de santé mentale et d’éducateur pour me faire croire qu’ elle a quelque chose contre moi, je sais pertinemment que non, elle ne peut pas me reprocher ça dans le vide comme ça, elle a fait la demande à la juge le 9 décembre et elle n’en a pas tenu compte)
Je lui ai dit que j’étais là pour voir la vérité et qu’elles me l’avaient montré, si ça continue encore c’est peut-être parce que d’autres vérités doivent m’être dévoilé.
Je dis que je ne suis même pas obligé de répondre à vos questions (comme quand la police dit qu’on a le droit à notre avocat parce que tout ce qu’on dira pourra et sera retenu contre nous, nous pouvons nous taire c’est le droit de ne pas se compromettre soi-même) mais que je le fais parce que j’ai rien à cacher. Elle dit mais voyons ca fais partie du suivi on ne va pas rester là à se regarder, je dis vous appelez ça aide et assistance c’est plutôt danger et maltraitance.
Viens le moment de parler à ma fille et elles veulent être seule avec elle, en entrant je dis vous ne croyez pas qu’être deux c est perturbant? Elle dit qu’on ne parlera pas de ça devant ma fille, je dis alors ressortons, c’est ce que nous faisons, je dis vous êtes supposé être seule pour les visites non? Elle dit qu’elles sont deux depuis le début et que ça restera comme ça! J’ai dit que l’été passé elle l’a voyait en ma présence sans jamais me dire de ne pas être là(c’est moi qui est pris la décision quand elle s’est mise à dire des choses insensé devant elle et qu’ elle a dit pour bien paraitre, au moins vous avez de l’autorité. Comment je pouvais savoir que je devais l’envoyer dans sa chambre quand c’est elle qu’elles sont supposés venir voir). Je lui ai dit qu’elle aimait ça les problèmes que c’est tout ce qu’elle faisait, elle a dit oui bien sûr. J’ai dit oui exactement. Je leurs ai dit qu’elles savaient que je n’avais personne à qui demander, mais que de toute façon je préférais l’enregistrement puisqu’ on m’avait dit que c’était ma parole contre celle de la DPJ la meilleure défense c’est donc leur parole contre la leur! Elles sont entrées dans la chambre et j’ai laissé l’enregistrement à côté de ma fille.
Son téléphone était resté dans la chambre de la petite qui me dit vite maman avant qu’elle parte, je lui rapporte à l’extérieur et je lui demande si elle a enregistré, elle me répond qu’elle n’a pas le droit de faire ça a mon insu, je lui réponds oui bon…
11 août, j’ai téléphoné à la directrice nationale de la protection de la jeunesse au numéro que j’ai trouvé dans le répertoire pour joindre les gens du gouvernement pour lui dire que j’avais un document à lui transmettre mais comme je n’avais trouvé qu’un numéro de téléphone pour la joindre je lui donnait donc mon courriel. C’était une boîte vocale qui ne nommait aucune identité. Je vais donc attendre à lundi prochain et écrire au ministre plus facile à joindre, si je n’ai pas de réponse.
16 août, j’ai envoyé un message au ministre délégué de santé et de services sociaux.
23 août, message envoyé au premier ministre du Québec, n’ayant eu aucune réponse du ministre délégué ni de la directrice nationale de la protection de la jeunesse.
16 septembre, rencontre teams avec l’intervenante (durée environ 9 min.), elle a commencé en me disant que je devrais partir mon enregistrement ce que j’étais en train de faire devant elle... Ensuite elle m’a dit qu’ elle ne cachait pas comme depuis le début que ma santé mentale l’inquiétait mais comme ça faisait 1 an et demi qu’ elle était dans ma vie et que ma fille allait à l’école et qu’ il y avait eu de l’avancement, elle regarde vers le bas et dit avec une petite voix : parce que oui y pas eu de l’avancement… qu’ elle a parlé avec ses coordonnatrices et qu’ elle demanderait à la juge un désistement vu qu’ en l’envoyant à l’école et en lui faisant faire des activités comme le soccer (c’était l’année passée…) je démontrais que je prenais les bonnes décisions pour ma fille, je lui ai répond que je savais déjà qu’ elle se désisterait (c’était tellement prévisible…) qu’ il y aurait un signalement si je la sortais de l’école, que son dossier serait garder jusqu’ à ses 18 ans donc que l’intervenante suivante aurait accès à son rapport et que ce serait elle qui prendrait la décision de prendre ou pas le signalement (j’espère que dans ce dossier les documents que j’ai fournis y sont aussi consignés…) Elle m’a dit qu’un document me serait envoyé par huissier ou avocat pour dire si j’étais d’accord avec le désistement et que je n’aurais probablement pas à me présenter en cours, ce serait la juge qui déciderait mais qu’elle serait surement en accord puisque les deux parties le seraient. Je l’ai regardé avec exaspération, l’écoutant débiter les mêmes absurdités attendant que cette rencontre, comme les autres avant celle-ci, prennent fin et cette persécution avec elle.
Enfin le plus important, elles ne s’en prendront plus à ma fille.
14 octobre, j’ai reçu un appel de l’intervenante me demandant si j’avais parlé avec mon avocat depuis le 7 octobre, jour de l’audience demandant è la juge un désistement. Je lui ai répond que non je n’avais pas parlé avec mon avocat, je n’avais eu aucune nouvelle, elle m’a dit que la juge avait dit oui au désistement, j’ai dit que j’avais attendu les papiers à signer qu’elle m’avait dit que je recevrais par mon avocat, elle a dit qu’elle n’avait pas dit ça qu’elle m’avait plutôt référé à mon avocat pour savoir si je devais être présente et que vu que les deux parties étaient d’accord aucune signature n’était requise.
J’avais pourtant parlé avec mon avocat qui m’avait confirmé que je devais lui renvoyé les papiers signés. Quand j’ai vu que je n’avais aucune nouvelle le 7 octobre, j’ai bien senti qu’ils faisaient comme à leurs habitudes, me dire n’importe quoi et me laisser dans le flou. J’ai donc été me renseigner sur le désistement, ça disait qu’il était bien souvent oral quand les deux parties étaient d’accord, je n’ai pas eu mon mot à dire ils ont pris pour acquis que je l’étais, de plus on ne peut refuser que pour des raisons vraiment valables.
J’ai appelle l’aide juridique, elle m’a confirmée que le désistement avait été accordé et que le procès-verbal n’avait pas été reçu par personne encore, j’ai donc écrit au greffe pour en faire la demande être sure de le recevoir.
Ce que je me suis rappelé (après coup):
-Sur le procès verbale il est écrit que l’avocat de ma fille étais d’accord avec la DPJ mais qu’il aurait préféré qu’elle me soit retiré, ce n’est pas ce qu’il a dit en cours, il a dit que si je n’avais pas dit oui aux requêtes de la juge il aurait demandé qu’elle me soit retiré. C’est bien différent comme point de vue. (C’est pourquoi j’ai demandé une reproduction judiciaire)
-Quand elles ont vu qu’elle ne trouverait rien contre moi, elles se sont tournés vers ma santé mentale.
-Au tribunal quand j’ai eu à dire à ma fille qu’elle irait à l’école, elle a très clairement dit non de façon fâchée déçue, j’ai dû lui dire que ce n’était pas grave que ça allait bien aller, je l’ai réconforté mieux et encouragé à la maison, parce que la DPJ s en mêlait. Des traumatiseurs d’enfants, tous ceux qui crois en cette façon de faire.
-Au début elles m’ont demandés comment j’allais faire pour que ma fille aie des amis en faisant l’école à la maison, c’est donc vers la que je me suis dirigé, chercher des solutions. Dès que j’en ai trouvé elles se sont mises à me dire autre chose, ensuite j’ai fait des vidéos parce que j’ai bien vu qu’elles n’écoutaient rien. Elle dit que c’est parce que j’ai dit qu’on ne voyait personne et que c’était bien correct. J’ai dit ça pour l’année passée, j’avais un choix à faire et il y avait des pours et des contres dans chaque choix, mais que je trouvais très important que ma fille voit d’autres enfants.
-Elles arrivent chez nous menaçante et sans avertissement à la première visite, ma fille reste dans la chambre, j’ai dû la sécurisé en lui disant que tout irait bien et après elles se servent de ça contre nous.
-La docteure du CHUL m’appelle et je lui dit que je vois pas le but d’aller au CHUL quand ma fille verra l’orthophoniste à l’école et c’est la seule dont elle pourrait avoir besoin, elle me dit que c’est pour le bien de ma fille, je lui dit que cette phrase commence à me sortir par les oreilles parce que ça sonne plus comme faites ce qu’ on vous dit sinon…elle réplique bêtement allez-vous le faire le bien de votre fille!? J’ai répond oui parfaitement je vais le faire… (Merci pour la vérité!)
-J’ai fait tout ce qu’on m’a demandé pour avoir des preuves, je savais déjà que ma fille allait très bien, je leur avais dit à la première rencontre « être heureuse ca suffit pas? » elles ont répond que non.
-J’ai parlé avec l’orthophoniste du fait que ma fille parlait en bébé devant la caméra et les gens, elle a dit que ça arrivait souvent que les enfants fassent ça.
-Mon avocate m’a dit c’est ta parole contre celle de la DPJ comme si ma parole n’avait aucune valeur le 9 juin au moment du premier procès. Cette femme en plus de ne pas m’aider, me nuisait.
-En sortant de mon premier procès du 9 juin qui a duré 5 min. pour environ 3 heures d’attentes dans le corridor, après qu’ils m’aient menacé de m’enlever ma fille, ils m’ont tous laissé sortir en premier et en sortant ma fille n’était plus là! Ils m’ont laissé la chercher, je commençais à l’appeler plus fort et l’intervenante m’a dit que l’autre intervenante l’avait emmené dans une autre salle. Je n’ai rien dit, quand j’ai vu ma fille je n’ai fait comme si de rien n’était et je n’ai plus bougé de mon banc pour rester près d’elle. Mon avocate me disait de venir dans la salle avec elle et je l’ai ignoré. On nous a encore laissé poireauter sur le banc, je ne sais pas combien de temps jusqu’à ce qu’on nous dise qu’on pouvait partir. Pendant tout ce temps on nous torturait mentalement et personne n’a rien fait, ni nos avocats, ni le garde présent.
-Ça fait presque 1 an que je me fais traiter sans respect et sans raison, plus le temps passe et plus j’ai de preuves de ce non-sens. Nos droits ont été bafoués, les besoins de ma fille ignorés, on nous a manipulé, oui ma fille aussi, on lui a fait dire ce qu’on voulait de la même façon qu’à moi, tout ceci est carrément abjecte comme façon de faire.
-Je me suis fait dire que si elle ne me crachait pas dessus ou me frappaient ça ne comptait pas… au vu la façon dont nous avons été traité pendant le premier procès, j’en déduis qu’ils pensent tous de la même façon, la torture mental n’a aucune importance pour eux, pourtant c’est le point essentiel des lois.
-La visite après le premier procès, elle à enlever son masque pour me regarder bien dans les yeux et avec son sourire de prédateur (sourire d’un animal qui relève seulement les lèvres vis-à-vis des canines, je suis personnellement incapable de le faire, j’ai vu peu de gens en faire d’ailleurs) c’est là qu’elle m’a répété jusqu’à ce que je réponde comment j’avais trouvé le procès, j’ai répond que j’aurais le courage de 100 hommes puisqu’ il le fallait.
-Je me suis fait dire par le comité des usagers que ça les calmait un peu quand il y avait quelqu’un avec nous. Ça veut donc dire que ce n’est pas un cas isolé de maltraiter et torturer les parents devant (et sans) leurs enfants.
-Des stagiaires ont été présents à quelque reprise, ça veut donc dire qu’on les formes de cette façon.
-J’ai demandé à mon avocate après le premier procès comment ça qu’il y avait deux intervenantes, ce n’était pas juste deux contre une et qu’en plus elles étaient méchantes, elle a été demandé et elle m’a dit que d’habitude c’était seulement une mais qu’elles seraient deux et ne savait pas pourquoi, elle s’est bien gardé de me dire que je pouvais demander qu’elle soit seule. Ni aucun conseil du genre d’ailleurs, elle ne faisait que lever le ton pour me dire de faire ce qu’on me demandait. Quand j’ai compris ce qu’elle faisait, c’est-à-dire prendre pour la DPJ, je lui ai dit « comment pouvez-vous ne pas vous sentir coupable de nous avoir mis dans une situation aussi précaire? » Elle a répond qu’en voyant le peu de confiance que j’avais en elle je serais mieux de changer d’avocat. Je lui ai dit que c’est ce que je ferais et que je gardais nos courriels échangés pour mon dossier.
-La première docteure que j’ai vu, elle avait vraiment l’air de chercher les problèmes, elle en trouvait tellement pas qu’elle a écrit dans le dossier que ma fille avait dû tartre sur les dents de derrière. Quand j’ai revu l’autre docteure plus tard, je lui en ai fait part en disant : « effectivement on ne venait pas juste de brosser nos dents avant d’entrée dans la salle! » Elle a ri, cette docteure a été la seule à m’écouter vraiment et avoir du respect, elle a même avoué que l’école ce n’était pas pour tout le monde et que c’était vrai que les enfants éduqué à la maison avait de meilleurs résultats scolaire.
-J’ai appelé l’aide juridique pour changer d’avocat pour ma fille parce que comme mon avocate en plus de ne pas aider il a nuit, de ce point de vue on aurait pu s’en passer, on m’a dit que ce ne serait pas possible. Il a finalement aidé par la suite, même si ses propos avaient une certaine ambiguïté quand il a dit qu’il demandait la fermeture du dossier en gardant sa décision finale après avoir entendu mon témoignage. Pourtant ma fille a été claire, elle voulait rester avec moi et c’est évident qu’elle est heureuse.
-Pendant le premier procès, en plus de tout le reste, elles m’ont obligé à mettre le banc d’auto de la petite à l’arrière, en sortant elles sont sortis en même temps que moi et avec leur air arrogant et ont vérifié si je le faisais. En plus elles m’ont parlé de mon banc non approprié, j’ai donc changé de banc. Je me suis rendu compte plus tard que j’avais le droit de l’assoir en avant dans son banc, que ce n’était pas une obligation mais une recommandation. Elles m’ont redemandé plus tard si elle était toujours bien à l’arrière. (Tellement de mensonges et de manipulation…)
-Au début du procès du 15 décembre, la juge a demandé tout en faisant une constatation aux intervenantes comme si de rien était : « Vous avez changé d’idée? » en parlant de m’enlever mon enfant. Comme si c’était la routine de menacer et de changer d’idée.
-Le 31 août en arrivant à leur bureau on m’a demandé d’attendre dans un vestibule très petit, comme je savais à qui j’avais affaire, j’ai cherché une horloge, il n’y en avait pas, j’ai donc photographié le téléphone ou l’heure était inscrite et le mur ou les pamphlets indiquait ou je me situais. Elles sont venues me chercher rapidement et on est descendu dans une grande salle disant que son bureau était trop petit.
La plainte au commissaire
Quand j’ai appelé pour porter plainte, la femme blasé m’a répond que ça servait pas à grand-chose parce qu’elles n’étaient pratiquement jamais retenues, j’ai répond oui ça vaut la peine, un moment donné à force on va être écouté et les choses vont changer. Elle a été mal à l’aise comme si je l’avais réveillé, elle a voulu m’aider mais j’ai dit que je la ferais par internet, elle m’a donné son nom au cas où je changerais d’idées. Quand j’ai vu l’emplacement sur le document internet ou on avait deux lignes pour raconter notre histoire avant que ça deviennent minuscule j’ai compris que ce n’était pas sérieux cette plainte, mais je l’ai fait parce que c’était l’étape suivante et je voulais faire tout dans les règles.
Avec aucune surprise il n’a pas trouvé la plainte fondé, il a commencé par me dire qu’il n’avait pas pris pour la DPJ, je lui rétorque qu’il ne m’a même pas demandé ma version des faits. Je lui demande combien de plaintes sont formulées par année, il me répond qu’il ne tiens pas de registre, je lui réponds évidemment…il finit par me dire un chiffre approximatif d’environ 100 plaintes pour Chaudières-Appalaches pour environ 15 000 pour le Québec. Il termine par la même phrase que tous les autres…c’est pour le bien des enfants! Je finis en disant c’est sûr pour leur bien traumatisons les un bon coup!
Je me suis donc diriger vers le site du protecteur du citoyen, ces gens ont l’air beaucoup plus à leur affaire, quand j’ai téléphoné la femme était outré et voulait vraiment m’aider, elle m’a demandé le nom du commissaire, je lui ai dit que je ferais une plainte par internet parce qu’ elle me demandait de résumer et que c’était tout une histoire ce qui m’arrivait, elle a dit avec compassion que oui j’étais mieux d’aller par internet dans ce cas, mais elle m’a aidé a trouvé les chiffres que je cherchais sur le site. Il y a pour l’année dernière 2001 plaintes dont 39,2% jugées fondées, ces chiffres sont pour la santé et services sociaux dans tous ces domaines à travers le Québec. J’en déduis donc que les gens se découragent en passant par le commissaire.
Texte de plainte envoyé au commissaire le 29 octobre 2021:
Bonjour,
Ceci est une plainte contre la protection de la jeunesse.
Dès la première visite, dès leur entrée dans ma maison j'ai su qu'elle n'était pas là pour aider qui que ce soit. À la deuxième visite je leur ai dit et à la troisième j'ai choisi le juge. Encore à ce jour malgré ce qu'elles nous ont fait vivre, je sais que j'ai fait le bon choix. Elles sont malveillantes et je ne saurai tolérer qu'elles fassent vivre ce cauchemar à d'autres par mon inaction, j'agis donc.
Elles m'ont menacé, intimidé, harcelé et manipulé, tout ceci est de la persécution et un très mauvais exemple de société pour nos enfants qu'elles représentent et protègent soi-disant. Chaque semaine me menaçant de m'enlever ma fille pour des raisons futiles et absurdes sans fondement puisque quiconque de censé verrait assez rapidement en rentrant chez moi, que je prends grand soin de ma fille. Je suis persuadé qu'elles l'ont très bien vu, mais par orgueil plus les semaines passaient plus elles devenaient vindicatives et malveillantes. J'ai tenté de leur expliquer calmement à chaque visite et ensuite d'en informer leur coordonnatrices mais elles ont été aussi malveillante et ont pris partis de ces femmes sans vergognes. Je leur ai dit qu'elles faisaient aussi mal leur travail en ne supervisant pas adéquatement les intervenantes.
Ce qui m'a finalement enlevé tous doutes sur leurs intentions malveillantes c’est le 15 septembre le jour de l'audience, ma fille a commencé une gastro tôt ce matin-là et j'ai dû l'emmener pour démontrer les faits, à ce moment on ne savait pas si ces symptômes étaient en lien avec la COVID, on nous a donc demandé de sortir du bâtiment et d'attendre dans la voiture. On avait déjà fait 1h15 de route pénible, on devait ensuite aller faire un test de COVID à l'hôpital et retourner à la maison, et tout ce qu'elles ont trouvé à dire c'est qu'on pourrait faire l'audience en Visio conférence! Nos avocats ont démontrés qu'il n'y avait aucun danger dans ma maison et l'audience a été remise au 15 décembre.
Les mots devant être utilisé en parlant de ces femmes devraient être : compassion, entraide, bonté. Ce n'est nullement le cas.
Je porte donc plainte contre ces quatre femmes indignent de faire ce travail d'une grande importance.
Plainte au protecteur du citoyen (Texte Envoyé le 5 mai 2022)
Donc si je résume mon histoire, je dirai d’emblée : À quoi sert toute cette hiérarchie si personne ne fait son travail?
Ils m’ont tous traité de la même façon, le gouvernement se targue d’offrir des services mais ce n’est pas du tout ce qui est offert, c’est plutôt menace, intimidation et control dans le but de soumettre à leur volonté. Les gens quels qu’ils soient agissant de la sorte sont punis, personne n’est au-dessus des lois, avec ce que j’ai pu apercevoir cette année, il y a corruption, la droiture et la bonté n’étant qu’une minorité. Les techniques utilisées sont dignes d’une organisation criminelle, non la fin ne justifie pas les moyens, quand la solution est pire que le problème, rien ne va plus.
Ça a commencé avec l’école à la maison qui ont fermé mon dossier, ce qui a mené à l’ouverture d’un dossier à la DPJ qui eux m’ont emmené en cours. À partir de là il y a eu des avocats, juges, les professeurs et directrice de l’école, les docteurs et pour finir les plaintes. Je continuerai aussi loin qu’il le faudra pour dénoncer cette malfaisance, si c’est le monde que les autres veulent pour leurs enfants, pour moi c’est impensable, inacceptable et intolérable. Tous ces gens méritent que je porte plainte contre eux, mais je me concentrerai pour l’instant sur la DPJ, c’est eux le plus gros problème puisque c’est eux qui sont désigné pour venir chez les gens et c’est donc eux que les autres crois, ces femmes ont un grand pouvoir parce que les autres leur donne et elles en abusent.
Je vous invite à lire le document Histoire de DPJ, un compte rendu assez complet qui accompagne cette plainte.
Tous les documents, enregistrement, vidéos mentionnés dans ce document ainsi que moi-même sommes à votre disposition pour révéler cette vérité, vous n’avez qu’à en faire la demande. Je ne sais lequel vous trouveriez plus pertinents que les autres, tout mon dossier pourrait être pertinent après la lecture de mon histoire.
Le mal gagne par l’inaction des gens de bien, je me dois donc d’agir.
Ensemble changeons le monde, soyons bon. (La bonté implique courage, honnêteté, détermination et amour)
Je mets un lexique pour être sure qu’on ait la même définition des mots, le dictionnaire ne ment pas.
LEXIQUE :
-Aider : https://dictionnaire.lerobert.com/definition/aider
-Corruption : https://dictionnaire.lerobert.com/definition/corruption
-Détournement cognitif : https://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=26542769
-Respect : https://dictionnaire.lerobert.com/definition/respect
-Service : https://dictionnaire.lerobert.com/definition/service
J’ai eu deux appels du protecteur du citoyen, une femme qui m’a confirmé qu’elle avait bien l’intention de m’aider, mais qu’elle ne pouvait que faire des recommandations et que c’était à la juge de prendre les décisions. Je lui ai spécifié qu’avec ce qui m’étais arrivé, je doutais fortement de l’impartialité de la juge, elle m’a dit que pour cette partie je devais me référer à mon avocat ou au barreau et pour l’école à la maison au protecteur de l’élève et à la commission scolaire. Elle m’a aussi confirmé qu’il y avait bien des irrégularités qui devaient être vérifié et de donné tout ce que j’avais comme preuve au commissaire qui me contactera, enregistrements compris. Elle m’a confirmé que le ¾ des gens faisant affaire avec la DPJ se plaignaient d’eux mais qu’elles aidaient dans les cas graves, (¾ pour ¼ c’est évident qu’il y a beaucoup d’abus).
Je lui ai demandé si c’était une raison valable pour me menacer de m’enlever ma fille, elle a dit d’habitude c’est pour de l’abus ou de la maltraitance, c’est ce qu’on va vérifier. Elle m’a demandé ce que j’attendais au juste parce que pour le passé elle ne pouvait rien faire, je lui ai dit que je me suis arrangé avec le passé et que je m’arrangerais aussi avec le futur.
Elle m’a parlé que la DPJ étais sous une loi d’exception, mais que ça ne surpassait pas la charte des droits de l’homme ou des droits et libertés. Je suis allé chercher cette fameuse loi spéciale, j’ai trouvé la LPJ (loi de la protection de la jeunesse) que j’ai lue, on y parle de respect, de courtoisie, de droits et l’importance de garder l’enfant dans son milieu et d’aider les parents. Je lui ai dit que je n’avais jamais vu un problème se régler sans y avoir fait face et j’ai terminé en lui disant que si elle trouvait cette façon de faire normal, nous ne vivions pas dans le même monde. Elle m’a dit qu’on me recontacterait en octobre, mais j’ai l’impression de perdre mon temps, ils ne feront rien.
19 octobre, j’ai eu un appel de la commissaire en charge de mon dossier, je lui ai dit que j’avais changé d’idée, que je ne perdrais pas mon temps avec eux et que j’irais là où ça sers a quelque chose. Elle m’a demandé ce qui m’avait fait changer d’idée et pourquoi je pensais qu’il ne ferait rien. Je lui ai dit que je terminais justement mon compte rendu et que je lui enverrais, que j’étais tombé sur la commission Laurent et que s’ils avaient voulu changer les choses se serait déjà fait, que tout ce qui me venait quand je pensais à tout ça, c’est corruption. Elle a dit que c’était ma perception, je lui ai dit que j’avais passé en cours et juge, avocat et DPJ c’était corrompu, que j’avais des preuves. Elle a dit ok alors vous voulez vous désister? (ça m’a surprise, la DPJ s’est désister parce qu’elle n’avait aucune preuve et n’avait surement pas envie de se rendre devant la juge, même s’il y a corruption dans la salle de cours mes propos aurait été enregistré et rien ne m’aurait fait taire et elle le savait. Je me désiste pas, j’arrête ce foutage de gueule! ), je lui ai dit d’attendre mon dernier message et que tout serait clair, qu’elle pourrait alors fermer mon dossier et j’ai dit comme ça je vous ferai pas perdre votre temps…et là j’ai rajouté ben perdre votre temps c’est vite dit je ne sais pas trop ce que vous faites! Et on a raccroché.
Le dernier message envoyé :
Bonjour,
Je vous renvoie mon compte rendu complété, je ne vous enverrai rien de plus puisque ce serait inutile. Vous avez eu mainte occasion d’aider les gens, de faire le bien et vous n’avez rien fait.
Vous pouvez donc fermer mon dossier.
Martine Loiselle
Texte envoyé au premier ministre du Québec : (23 août 2022)
Bonjour Mr,
Vous avez mis en place une directrice nationale de la protection de la jeunesse et il n y a aucun moyen de la contacter. Après plus d’un an à son poste, rien n’a changé.
J’ai tenté de la joindre par le biais du ministre délégué, aucune réponse.
J’aurais bien aimé vous transmettre le document mentionné, mais le mode de transmission utilisé ne le permet pas, Mr l’a en sa possession.
Je viens donc vers vous, voici le message que je lui ai transmis le 16 août 2022 :
Bonjour,
J'ai tenté de joindre Mme pour lui transmettre ce message, mais tout ce que j'ai trouvé c'est une boîte vocale sans nom dans le répertoire de la fonction publique dont je n'ai pas eu de réponse.
Je viens donc vers vous puisque de toute façon ce message concerne tout le monde.
Si vous pouviez tout de même faire parvenir le message qui suit et le document en pièce jointe à Mme je vous en saurais gré.
Le document peut être envoyé à toute personne que vous jugeriez pertinente.
Merci
Bonjour,
Je suis aux prises avec la DPJ depuis juin 2021, sous de faux prétextes, en usant de détournement cognitif qui consiste en menaces, intimidation et manipulation autant sur moi que sur ma fille de 8 ans, elles déforment nos propos et tentent d’inventer des problèmes pour justifier leur intervention qui n’a aucun sens. Si vous pouviez porter attention à mon dossier et mener une enquête vous seriez vite fixez. J’ai monté mon dossier moi-même voyant que l’aide ne viendrait de nulle part, j’ai bien fait.
Si j’avais pu voir la juge se serait déjà réglé, le problème c’est que ça fait trois fois que l’on repousse mon procès. Pendant ce temps je suis à la merci de ces femmes qui ne nous veulent pas du bien. Il y a quelque chose de pas clair avec tous ceux entourant la DPJ, ils prennent d’emblée pour elles, tout en sachant que ce qu’elles font n’est pas correct puisque je vis exactement ce que la commission Laurent constate, ce n’est certainement pas la loi d’agir et de traiter les gens de la sorte.
L’heure est grave, je ne suis pas un cas isolé, les enfants sont en danger et ce sont ceux supposé les protéger qui en sont la cause!
J’ai porté plainte au commissaire aux plaintes et ensuite au protecteur du citoyen mais ils sont tous plus inutiles les uns que les autres, je crois donc que vous êtes la prochaine étape. Ça fait longtemps que cette façon de faire perdure, s’ils avaient voulu changer les choses se serait déjà fait.
Alors je me demande, vous, avez-vous l’intention d’agir?
J’ai écrit un compte rendu, je le joints à ce message, tout y est dit.
Espérant votre soutien qu’ensemble nous changions les choses et rendions ce monde meilleur,
Martine Loiselle
J’ai ensuite envoyé ce message au Barreau, à la Magistrature, au Ministère de la santé et des services sociaux, à l’aide juridique, à la commission scolaire, l’école et dans les réseaux sociaux :
En partageant ce compte rendu, j’en appel à ceux qui ont de l’honneur et du courage, qui croient en la justice et la bonté.
A ceux-ci je dis qu’il est temps d’agir car le mal gagne par l’inaction des gens de bien!
20 septembre 2023
Réponse de la directrice nationale de la protection de la jeunesse:
Madame,
La présente fait suite à la communication que vous m’avez adressée, dans laquelle vous me faites part d’une situation impliquant la Direction de la protection de la jeunesse du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) ou au Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de votre région dans le cadre de l’application de la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ). Concernant votre demande, nous tenons à vous préciser que le ministère de la Santé et des Services sociaux ne peut, en aucun temps, intervenir dans les situations faisant l’objet d’une intervention de la part d’un directeur ou d’une directrice régionale de la protection de la jeunesse ou lorsque des décisions judiciaires sont rendues.
Nous vous invitons à prendre contact avec le comité des usagers de votre établissement qui pourra vous offrir un soutien. Par ailleurs, si vous n’êtes insatisfaite des services fournis par le CIUSSS ou le CISSS, tel que vous l’avez antérieurement fait, vous pouvez vous adresser au Commissaire aux plaintes et à la qualité des services de cet établissement. Le Commissaire recevra votre plainte et y apportera le traitement approprié. Sachez que celui-ci relève directement du conseil d’administration de l’établissement et que, de ce fait, il jouit d’une totale indépendance dans le traitement de ces dossiers. Les coordonnées du Commissaire sont disponibles sur le site Internet de l’établissement.
Dans l’éventualité où la réponse du Commissaire ne serait pas satisfaisante, il vous est également possible de vous adresser au Protecteur du citoyen, dont voici les coordonnées :
Enfin, si vous estimez que vos droits, ou ceux de votre enfant ont été lésés, vous pouvez vous adresser à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). Celle-ci analysera la demande et y donnera les suites qu’elle juge appropriées. Les coordonnées de la CDPDJ sont les suivantes :
Nous espérons que ces informations vous seront utiles.
Veuillez agréer, Madame Loiselle, l’expression de nos sentiments les meilleurs.
La directrice nationale de la protection de la jeunesse et sous-ministre associée,
Voici ma réponse :
Bonjour,
vous me répondez un an plus tard...pour ne rien dire.
Le problème n'est pas que vous ne pouvez rien faire, c'est que vous ne faites rien!
Je vais vous dire la phase la plus pertinente dites dans mon document que vous n'avez évidemment pas lu : " Si ces gens avaient voulu changer les choses, ce serait déjà fait! "
En parlant de tout ceux entourant la DPJ et visiblement les complices de ces traumatismes fait aux enfants qui s'en lavent les mains en disant qu'ils n'y peuvent rien!
Je ne perdrai plus une seconde avec aucun d'entre vous, j'ai fait le tour et vu à qui j'avais affaire! Je ferai donc ce qui doit, moi-même!
Adieu!
Documents envoyés à la juge :
-Bilan de santé avec prise de sang, de nous deux
-Bilan du CHUL (neuropsychologue, physiothérapie, pédiatrie), de ma fille
-Bilan orthophoniste fait à l’école
-Mon bilan du CIDDT pour la douance
-Bulletin scolaire (premier : Ang-65%, Fr-86%, Math-83%), (dernier : Ang-66%, Fr-81%, Math-75%)
-Les documents envoyés par l’école à la maison pour une demande de réouverture de dossier
-Factures et mots de présence pour les activités faits en été
Documents fait par moi :
- Vidéos de notre environnement et évaluation scolaire à la maison fais avant que l’école débute
-photo du matériel utilisé pour faire l’école à la maison
-La routine de nos journées en faisant l’école à la maison (feuille détaillé avec heure et activités)
-Mon plan pour continuer l’école à la maison (plan A et B)
-Contrat d’école jusqu’en juin 2021
-Toutes les réponses au rapport fait par la DPJ (démentis ou explications)
-Documents sur la façon dont les avocats ont été en plus d’être inutiles, nuisibles.
Des liens utiles pour la défense des parents et des enfants :
-https://www.village-justice.com/articles/les-droits-des-parents-face-direction-protection-jeunesse-quebec,32583.html
-https://www.cdpdj.qc.ca/fr (commission des droits de la personne et de la jeunesse)
-https://www.legisquebec.gouv.qc.ca/fr/document/lc/P-34.1 (loi sur la protection de la jeunesse/LPJ)
-http://www.assezdudpj.com/content/produits-services/kit-de-survie-a-la-dpj/que-faire-si/ (une personne qui sait!)
-La commission Laurent : https://www.csdepj.gouv.qc.ca/accueil/
-projet de loi 15 : http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-15-42-2.html
Des articles pertinents :
-https://www.lesoleil.com/2021/12/18/dpj-on-magasine-les-juges-be67143aba9a3139ad56f6500e082e1a
-https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2022-05-30/pourquoi-cette-confiance-aveugle-envers-la-dpj.php
-https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1419490/commission-dpj-regine-laurent-omerta-ministere-sante-quebec
-https://sisyphe.org/spip.php?article2329 (La DPJ et la chasse aux sorcières contre les mères)
-https://www.msss.gouv.qc.ca/ministere/salle-de-presse/communique-2703/ (article mise en place Directrice nationale et son rôle)
-https://sosavocats.ca/pour-nos-enfants-dabord/lavocate-denonce-dpj/
-https://www.cqv.qc.ca/la_dpj_utilisee_pour_harceler_les_parents_faisant_l_ecole_maison
-https://www.lesoleil.com/2019/12/04/quand-la-dpj-fait-fausse-route-59fe0b02984150b606799aa32eb9a541?nor=true
- https://www.droit-inc.com/article26122-Demantelez-la-DPJ-exige-une-ex-juge
Conclusion :
Après toutes mes recherches et mes efforts ce compte-rendu me semble caduc puisque la commission Laurent valide tous mes dires, ils savent donc tous déjà ce qui se passe et ça dure depuis très longtemps. Une commission avait été faite en 2003 et 2013, si ces gens avaient voulu changer les choses se serait déjà fait. La commission Laurent dit entre autre le traumatisme de changer l’enfant de famille, les décisions qui ne sont pas prise pour le bien des enfants, la façon de choisir quel cas est du département de la DPJ qui ne sont là que pour les cas très grave (tout en exposant le fait que les intervenantes ne veulent plus prendre les gros cas!?) Le fait qu’ils ne tiennent pas compte de ce que les parents et enfants disent, ça dit de faire un cercle de bienveillance autour des enfants et que ça concerne toute la société, on y parle aussi que les intervenantes devraient avoir des compétences universitaires, l’intervenante qui est venu chez moi est une psychoéducatrice, je suis pas sure que ses cours lui ai appris quoi que ce soit (L’école n’apprend pas la compassion, l’expérience et la bonté). L’imputabilité dans toute les sphères du gouvernement doit être mise en place, un crime c’est un crime peu importe qui le fait. Comment apprendre de ses erreurs s il n y a aucune conséquences (Il y en a d’ailleurs de grave sur les enfants, un travail beaucoup trop important pour des gens corruptibles.)
Le projet de loi 15, a servi à mettre en place les recommandations de la commission Laurent, ce changement est bénéfique, il apporte les modifications recommandées.
Comme toutes lois, ça reste évasif, c’est ce que les gens en font qui détermine si ça sert le bien ou le mal.
C’est donc à nous d’apprendre, de s’informer parce que comme démontrer dans ce document, personne ne fera ce qui est bien pour nos enfants ou qui que ce soit d’autres, que nous même, cessons d’être des victimes impuissantes, soyons les héros de notre histoire.
Cette histoire est loin d’être un cas isolé, comme beaucoup je trouvais des raisons à la DPJ…avec le nombre de plainte, le nombre de dénonciation, les aveux, tout est dit.
La DPJ existe depuis un peu plus de 40 ans seulement, les preuves sont faites, ils sont le danger pour les enfants, il est donc temps de ce passé de ce « service ». La loi est claire, ce sont aux parents à prendre les décisions pour leurs enfants, l’entourage ensuite et en dernier recours, l’état.
Ce sont les hôpitaux et les écoles qui usent et abusent des appels à la DPJ …et les ex qui veulent se venger. Mais ce sont les intervenantes et les tribunaux qui abusent de leur pouvoir. Ce règne de terreur doit prendre fin.
J’ai une tâche dans ce monde et c’est celle d’aider tous les êtres vivants croisant ma route. Le partage de ces informations recueillies directement est de l’aide pour tous ceux les lisant puisque le seul pouvoir qu’ils ont sur nous provient de notre ignorance. Quand on sait on ne peut plus ne pas savoir, tout comme nous ne pouvons savoir ce que nous ne savons pas, d’où l’importance d’exposer la vérité.
Que la bonté gagne!
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